La disparition d’Yves Robert plonge tous ceux qui l’ont connu dans une immense tristesse.

Ancien conseiller gouvernemental, il était coordinateur pour le groupe politique ALDE au Parlement européen, en charge des membres individuels en France.

Au fil de nos rencontres, je me suis lié d’amitié pour cet Européen convaincu, aux idées humanistes et libérales. Nous avions pris l’habitude de préparer ensemble les délégations françaises pour participer aux congrès ALDE à travers l’Europe.

Yves rêvait d’un monde plus éclairé et pacifié, c’est pourquoi la construction européenne lui semblait le meilleur gage vers l’accomplissement de cette promesse, même lorsque le chemin devenait chaotique.

Alors, pour défendre ses convictions, il avait l’art de s’exprimer publiquement avec autant de simplicité que d’éloquence.

Il s’est éteint dans son sommeil dans la nuit du 15 janvier.

Ce début d’année porte la marque du deuil pour la famille centriste avec la disparition d’Yves Robert, quelques heures après celle de Marielle de Sarnez.

Je m’associe à la douleur de sa famille et de tous ses proches et leur présente toutes mes condoléances.