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Consulaires 2014 : Dimanche, votre voix va compter. Venez voter !

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Carole Rogers, Roch Miambanzila, Sophie Routier, Olivier Cadic, Véronique Cartoux, Eric Simon et Stéphane Rambosson, candidats sur notre liste d’Union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre

Françaises et Français du Royaume-Uni,

Le taux de participation du vote électronique s’élève à 7,83% aux élections consulaires au Royaume-Uni. Seules 6 173 personnes ont voté par internet.

Les difficultés techniques rencontrées par les utilisateurs pour pouvoir exprimer leur vote par internet ont été nombreuses; beaucoup ont dû renoncer et devront se déplacer pour voter à l’urne. En ne faisant pas procéder à un test préalable comme l’avait fait son prédécesseur Alain Juppé en 2012, le ministre des Affaires Etrangères, Laurent Fabius, porte une lourde part de responsabilité dans les dysfonctionnements observés.

Dimanche 25 mai, venez voter. Votre voix va compter!

Votre suffrage peut faire basculer le sénat à droite dès septembre prochain.

Votez pour l’Union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre soutenue par l’UMP, l’UDI et l’UFE !

Fidèlement,

Olivier Cadic
Tête de liste «L’union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre» avec le soutien de l’UMP, l’UDI et l’UFE
Retrouvez notre bilan et notre programme sur le site l’Union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre

Si vous souhaitez vous aussi encourager notre action, vous pouvez nous envoyer un message à notre comité de soutien : soutienconsulaires@oliviercadic.com

Elections consulaires 2014 : Aux urnes citoyens !

olivier-cadic élections 2014Françaises et Français du Royaume-Uni,

Aux urnes citoyens !

48h00 après l’ouverture du vote électronique, la participation s’élève seulement à 1,9%. Quand vous ne votez pas, ce sont les autres qui décident à votre place !

Dès maintenant et jusqu’au mardi 20 mai (12h00 heure de Paris), vous pouvez voter par internet aux élections consulaires.
Vous pourrez également voter à l’urne le dimanche 25 mai (pour voir votre bureau de vote : http://www.ambafrance-uk.org/Votre-centre-de-vote-pour-les). Certains d’entre vous nous ont fait part de difficultés techniques avec le vote électronique sur Mac. L’UFE a circulé une notice réalisée par des électeurs susceptible de vous aider (elections-consulaires-mac – pdf).

Plan école, plan consulat, plan emploi, lutte contre les discriminations (fiscalité, accès handicapés, certificats de vie…), ensemble, faisons de la circonscription du Royaume-Uni un exemple d’amélioration du service public pour les Français vivant hors de France.

Votez dès ce week-end pour la liste l’Union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre soutenue par l’UMP, l’UDI et l’UFE.

Avec votre soutien, nous pourrons dire stop à François Hollande et changer la majorité au sénat en septembre prochain.

Fidèlement,

Olivier Cadic
Tête de liste «L’union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre» avec le soutien de l’UMP, l’UDI et l’UFE
Retrouvez notre bilan et notre programme sur le site l’Union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre

VOTE PAR INTERNET

Le vote électronique pour l’élection des conseillers consulaires sera ouvert du mercredi 14 mai au mardi 20 mai 2014 (12h, heure de Paris).

Pour voter par internet, vous avez besoin de votre identifiant (reçu par courrier, avec rappel par SMS) et de votre mot de passe, reçu par courriel.

Rendez-vous sur la page votez à l’étranger du ministère des Affaires étrangères pendant la période de vote et cliquez sur le bouton « Voter par internet » qui sera affiché.

En savoir plus sur le vote par internet

Vous n’avez pas reçu votre mot de passe ? Vous pouvez retrouver votre mot de passe en vous rendant sur cette page : https://mdp-scrutin.diplomatie.gouv.fr

En cas de difficulté, une assistance a été mise en place par le ministère des Affaires étrangères :

Contact par courriel grâce au formulaire suivant : http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/vivre-a-l-etranger/voter-a-l-etranger-20721/election-des-conseillers/vote-par-internet-aide-en-ligne/#contact

Contact par téléphone au + 33 1 72 62 40 41.

Voter sur Mac : de nombreux soucis d’utilisateurs sous Mac nous ont étés relatés. Voici une notice non officielle disponible sur le site de l’UFE, mais qui vous permettra de voter : elections-consulaires-mac (pdf)

Lire notre programme sur le site de campagne

Si vous souhaitez vous aussi encourager notre action, vous pouvez nous envoyer un message à notre comité de soutien : soutienconsulaires@oliviercadic.com

Pour nous contacter, merci d’adresser votre courriel à consulaires@oliviercadic.com.

Elections consulaires 2014 : Emmanuel du Chaffaut, chargé de mission UMP du Royaume-Uni, mobilise les électeurs UMP


Emmanuel du Chaffaut, chargé de mission UMP pour le Royaume-Uni et candidat sur la liste “L’union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre » soutenue par l’UMP, l’UDI et l’UFE, nous adresse le communiqué suivant :

Emmanuel du Chaffaut« Votez pour la liste UMP aux Consulaires dès mercredi 14 mai

Cher(e)s ami(e)s

Dès mercredi prochain (14 mai), vous pourrez voter pour vos conseillers consulaires et aussi contribuer à faire basculer le Sénat à droite. Votre vote est donc très important, nous comptons sur vous.

Premier parti de France, l’UMP (www.ump-gb.com) du Royaume Uni est en première ligne dans cette campagne.

Notre liste “Union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre” est le fruit de l’Union de l’UMP avec l’UDI et l’UFE.

Notre projet (consulaires2014.oliviercadic.com/programme) rassemble les forces d’opposition crédibles à François Hollande. Menée par Olivier Cadic (UDI), l’UMP et toute son équipe y jouent un rôle moteur.

Comment voter ?

Vote électronique : www.votezaletranger.gouv.fr

Vous avez reçu votre Identifiant par courrier mais aussi via 2 SMS. Votre mot de passe personnel vient de vous parvenir (par email).

Vote ouvert du mercredi 14 mai (12h00 heure de Paris) au mardi 20 mai (12h00 heure de Paris).

Vote à l’urne :
Si vous n’avez plus ou pas d’identifiant, ni mot de passe sous la main, votre bureau de vote est ouvert  le dimanche 25 mai bien sûr.  Et vous pourrez aussi voter pour les Européennes sur place.

Pour vous présenter notre programme et rencontrer les membres de la liste, nous vous proposons 3 dates et lieux de rencontres la semaine prochaine pour échanger. Voir détails sur note site www.ump-gb.com

Votre vote est donc très important, nous comptons sur vous.

Très cordialement »

Emmanuel du Chaffaut
Responsable UMP Royaume-Uni
www.ump-gb.com

Notre projet (Partie 3) : Enseignement – plan Ecole pour tous

olivier-cadic élections 2014Françaises et Français du Royaume-Uni,

Le 25 mai prochain (*), vous serez appelés à élire 9 conseillers consulaires. Ils succèderont à vos 6 conseillers à l’AFE.

Notre liste « L’union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre » soutenue par l’UMP, l’UDI et l’UFE a pour ambition de faire de la circonscription de Londres (Angleterre, Pays de Galles et Irlande du nord) un exemple d’amélioration du service public pour les Français vivant hors de France.

Dans un billet précédent (Lire : “Elections consulaires 2014 – Notre projet (1ère partie) : plan Consulat, plan Emploi, soutien aux entreprises françaises” du 25 avril 2014), nous avons évoqué les trois premiers points de notre programme :

1. L’amélioration de l’efficacité de l’administration consulaire grâce au plan Consulat,
2. L’aide à l’emploi des jeunes grâce au plan Emploi, autour de 5 priorités,
3. Le soutien aux entreprises françaises qui souhaitent opérer au Royaume-Uni.

Dans un billet suivant Lire : “Notre projet (Partie 2) : Fiscalité, Certificats de vie, Lutte contre les discriminations” du 03 mai 2014, nous avons exposé les deux points ci-après :

4. Lutte contre les discriminations qui pèsent sur les Français établis hors de France
5. Resserrer les liens d’amitié entre la France et le Royaume-Uni

Nous vous présentons aujourd’hui la partie consacrée à l’enseignement :

6. PLAN ÉCOLE POUR TOUS : offrons une solution d’enseignement en français à tous les enfants du Royaume-Uni

L’enseignement français au Royaume-Uni se développe en respectant un plan Ecole, fruit de notre engagement en 2006. La communauté scolaire peut être fière des résultats obtenus. L’implication des entreprises de la Chambre de commerce française en Grande-Bretagne, et en particulier celle d’Arnaud Vaissié, Jean-Pierre Mustier et Richard Fairbairn, les trois Trustees du FEPT (French Education Property Trust), a été déterminante pour la création de nouveaux établissements. Mais les défis restent nombreux.

La hausse débridée des frais de scolarité conjuguée à des bourses scolaires qui ne bénéficient qu’à 7% des enfants français scolarisés à l’étranger aboutissent à un recul de la mixité sociale au sein de nos établissements. Ce recul est aggravé par la réforme des bourses votée par la gauche qui éconduit des familles économiquement fragiles. Nous défendrons une totale transformation de l’aide à la scolarité à l’étranger pour que tous les enfants français qui en ont besoin puissent en bénéficier.

Nous vous proposons de nouveaux objectifs pour le plan Ecole à horizon 2020 pour répondre aux attentes exprimées par nos compatriotes. Nous pouvons les atteindre en agissant ensemble comme nous l’avons fait ces dernières années.

Artisans majeurs de l’amélioration du service public au Royaume-Uni, notre ancien consul général Edouard Braine et Michel Monsauret nous ont apporté leur soutien. Si vous souhaitez vous aussi encourager notre action, vous pouvez nous envoyer un message et pour nous aider à promouvoir notre liste sur « Contact ».

Nous vous invitons à venir nous retrouver à : Bristol (9 mai), ; Cardiff (10 mai) ; Londres – Kentish Town (12 mai), au lycée Charles de Gaulle ; Londres – South-Kensington (13 mai) en présence de la sénatrice Joëlle Garriaud-Maylam ; Ashford, Kent (14 mai) ; Londres City (14 mai). Pour connaitre les détails, suivez ce lien vers notre agenda.

Fidèlement,

Olivier Cadic
Tête de liste «L’union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre» avec le soutien de l’UMP, l’UDI et l’UFE

NOTRE PROJET :

ENSEMBLE,
FAISONS DE LA CIRCONSCRIPTION DE LONDRES
UN EXEMPLE D’AMELIORATION DU SERVICE PUBLIC
POUR LES FRANÇAIS VIVANT HORS DE FRANCE !

6. PLAN ECOLE POUR TOUS : offrons une solution d’enseignement en français à tous les enfants du Royaume-Uni

« La création d’un plan Ecole était l’engagement phare de la profession de foi d’Olivier Cadic, il y a 8 ans. Et, en effet, sous son impulsion, le plan Ecole est devenu une réalité ! » Arnaud Vaissié, président et co-fondateur d’International SOS et ancien président de la Chambre de commerce française en Grande-Bretagne.

6.1 –  Une aide à la scolarité pour tous

Est-il normal que les tarifs des écoles françaises de Londres soient si différents ? Pourquoi l’État subventionne-t-il certaines écoles plus que d’autres ? Pourquoi les familles éloignées ou contraintes financièrement sont-elles laissées-pour-compte ?

Seul un quart des enfants français bénéficient de la subvention de l’Etat. Réallouons l’énorme enveloppe de 550 millions d’euros pour que tous les enfants français à l’étranger en bénéficient !

6.2 – Renforçons le plan Ecole avec 1500 places supplémentaires d’ici 2020

Aucune place ne vous a été offerte dans une école française ? Vous vivez éloignés des écoles françaises ?

Nous proposerons ces 3 objectifs au comité de pilotage du plan École :
– créer 1500 places supplémentaires (ajoutées aux 1500 places créées par le plan Ecoles depuis 2007)
– doubler le nombre d’écoles britanniques offrant un enseignement bilingue ou intégré du français, soit la création de quatre nouvelles écoles par an
– Créer 1000 places supplémentaires dans les écoles FLAM en dehors des grandes villes.

6.3 – Halte à la hausse non maitrisée des frais de scolarité !

Pourquoi toujours tout gérer depuis Paris ?

Un établissement géré par l’administration centrale à Paris coûte à l’État 20% de plus qu’un établissement conventionné géré localement. Exigeons la création d’un comité de gestion local pour le lycée CDG et ses annexes, inspiré du statut du type EPLE (Établissement public local d’enseignement).

6.4 – Transparence dans l’attribution des places dans les établissements scolaires.

6.5 – Des écoles bilingues pour tous.

6.5 – Développons et pérennisons les associations du programme FLAM.

6.6 – Mettons en place un réseau d’aide aux élèves en difficulté.

Lire notre programme sur le site de campagne

Si vous souhaitez vous aussi encourager notre action, vous pouvez nous envoyer un message à notre comité de soutien : soutienconsulaires@oliviercadic.com

Pour nous contacter, merci d’adresser votre courriel à consulaires@oliviercadic.com.

Elections consulaires 2014 : Michel Monsauret nous apporte son soutien

Michel Monsauret, notre ancien conseiller culturel adjoint chargé de la coopération éducative de 2007 à 2010, nous a adressé le message suivant :

“Olivier est un homme engagé qui ne renonce jamais et met ses qualités entrepreneuriales au service de causes qui servent les intérêts de tous les Français sans esprit partisan. Je lui apporte mon entier soutien”.

Je suis particulièrement touché de recevoir l’appui de Michel qui fut l’artisan inlassable et habile du plan Ecole pour le Royaume-Uni et je saisis l’occasion pour lui redire toute la reconnaissance de notre communauté pour l’ensemble de son travail (Lire : “Il y aura un avant et un après, Michel Monsauret…” du 06 octobre 2010).

Michel Monsauret et Sophie Routier, en 2009, prenant possession des clés du futur Collège français bilingue de Londres (CFBL)

Michel Monsauret et Sophie Routier, en 2009, prenant possession des clés du futur Collège français bilingue de Londres (CFBL)

Son arrivée à Londres, en septembre 2007, a eu un effet déclencheur au moment même où je me sentais désabusé à cause du faible répondant de l’Administration à mes demandes d’information. Michel m’a proposé de travailler ensemble. Nous avons commencé par construire une cartographie de l’offre scolaire française au Royaume-Uni qui est devenue un outil de référence : le “tableau de bord de l’enseignement français au Royaume-Uni”.

Ce tableau a été alimenté par une copieuse collecte d’information pour savoir dans quelles circonstances étaient scolarisés les enfants des familles enregistrées au consulat. Une fois les chiffres posés, les besoins se sont clairement révélés.

Cette démarche nous a conduit au lancement du plan Ecole sur décision de l’ambassadeur, Maurice Gourdault-Montagne, fin 2007, avec pour premier objectif de créer 1500 nouvelles places dans l’enseignement français à Londres.

La contribution de Michel Monsauret fût déterminante pour assurer le succès de ce plan, dont l’une des plus grandes réussites aura été l’acquisition d’un bâtiment à Kentish Town, devenu le Collège français bilingue de Londres (CFBL).

Cette opération a permis à Michel d’apporter tout son soutien à Sophie Routier dont la mission initiale était de sauver l’école “l’Ile aux enfants”. Sophie n’oubliera jamais la journée du 30 novembre 2009, lorsqu’ils sont allés tous les deux récupérer les clés du bâtiment destiné à abriter le CFBL (Lire : “Kentish Town (7) : Le jour de la remise des clés !” du 06 octobre 2010).

L’impulsion donnée par Michel lors de la création du plan Ecole ne s’émousse pas et je sais qu’il en est heureux.

Notre liste aux élections consulaires, “L’union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre” soutenue par l’UMP, l’UDI et l’UFE, a pour ambition de créer de nouveau 1500 places dans l’enseignement français à Londres au cours des 6 prochaines années ! Elles s’ajouteront donc aux 1500 places déjà créées depuis 2007 dans le cadre du plan Ecoles.

Lire notre programme sur le site de campagne

Notre projet ( Partie 2) : Fiscalité, Certificats de vie, Lutte contre les discriminations

olivier-cadic élections 2014Françaises et Français du Royaume-Uni,

Le 25 mai prochain (*), vous serez appelés à élire 9 conseillers consulaires. Ils succèderont à vos 6 conseillers à l’AFE.

Notre liste « L’union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre » soutenue par l’UMP, l’UDI et l’UFE a pour ambition de faire de la circonscription de Londres (Angleterre, Pays de Galles et Irlande du nord) un exemple d’amélioration du service public pour les Français vivant hors de France.

Dans un billet précédent (Lire : “Elections consulaires 2014 – Notre projet (1ère partie) : plan Consulat, plan Emploi, soutien aux entreprises françaises” du 25 avril 2014), nous avons évoqué les trois premiers points de notre programme :
1. L’amélioration de l’efficacité de l’administration consulaire grâce au plan Consulat,
2. L’aide à l’emploi des jeunes grâce au plan Emploi, autour de 5 priorités,
3. Le soutien aux entreprises françaises qui souhaitent opérer au Royaume-Uni.

Nous vous présentons aujourd’hui la suite de notre programme, à travers les 2 axes suivants :

4. Lutte contre les discriminations qui pèsent sur les Français établis hors de France

Fiscalité: Il faut supprimer le prélèvement de la CSG/CRDS de 15,5 % sur les revenus immobiliers des non-résidents. Cette taxe décidée par les socialistes, dès leur arrivée au pouvoir, est contraire au droit européen et à leurs propres engagements électoraux !

Handicap : Nous ne serons pas inactifs face à la volonté du gouvernement de reporter de 10 ans ses obligations légales à l’égard des personnes à mobilité réduite.

Certificat de vie : nous poursuivrons notre lutte contre l’obligation faite à nos ainés expatriés de produire chaque année la signature d’une autorité officielle pour continuer de percevoir leur retraite.

5. Resserrer les liens d’amitié entre la France et le Royaume-Uni

Partageons notre fierté d’être français ! En soutenant diverses associations et toutes les bonnes initiatives, nous souhaitons valoriser nos terroirs, promouvoir notre culture, et incarner la fraternité républicaine ou le devoir de souvenir.

Après Jersey et Guernesey, nous vous invitons à venir nous retrouver à Bristol (9 mai), à Cardiff (10 mai), à Kentish Town (12 mai), au lycée Charles de Gaulle à South-Kensington (13 mai) et à Ashford, Kent (14 mai). Pour connaitre les détails, suivez ce lien vers notre agenda.

Fidèlement,

Olivier Cadic
Tête de liste «L’union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre» avec le soutien de l’UMP, l’UDI et l’UFE
http://consulaires2014.oliviercadic.com
Retrouvez mon bilan sur : http://consulaires2014.oliviercadic.com/realisations

(*) Pour l’élection des conseillers consulaires, vous pouvez voter par internet à partir du portail www.votezaletranger.gouv.fr, du mercredi 14 mai 12h00 au mardi 20 mai 12h00 (heure de Paris).

NOTRE PROJET :

ENSEMBLE,
FAISONS DE LA CIRCONSCRIPTION DE LONDRES
UN EXEMPLE D’AMELIORATION DU SERVICE PUBLIC
POUR LES FRANÇAIS VIVANT HORS DE FRANCE !

4. SUPPRIMONS LES DISCRIMINATIONS QUI PÈSENT SUR LES FRANÇAIS ÉTABLIS HORS DE FRANCE

Nous demandons la suppression des discriminations injustes. Il n’est pas acceptable que les Français établis au Royaume-Uni se voient infliger la double peine fiscale et sociale.

4.1 – Luttons contre les discriminations fiscales
Est-il normal que les non-résidents payent la CSG-CRDS sur les revenus immobiliers en France alors qu’ils ne bénéficient pas de la sécurité sociale ? Réclamons l’abandon de ce prélèvement décidé par la gauche et le remboursement des sommes injustement perçues (Lire : “Actualité fiscale pour les non-résidents : hâtez-vous de faire une réclamation contentieuse au sujet de vos prélèvements CSG/CRDS” du 29 avril 2014).

4.2 – Remplaçons le certificat de vie demandé par les caisses de retraite par une attestation sur l’honneur

4.3 – Faisons respecter l’obligation d’accessibilité des personnes à mobilité réduite dans nos établissements publics à l’étranger

4.4 – Améliorons et clarifions le système de couverture sociale des Français de l’étranger et défendons la continuité de l’aide gratuite et publique pour les patients du dispensaire français à Londres

4.5 – Levons les obstacles qui empêchent nos enfants en universités britanniques de faire un stage professionnel en France !

5. RESSERRONS LES LIENS D’AMITIÉ ENTRE LA FRANCE ET LE ROYAUME-UNI

La double nationalité doit être protégée. Le rattachement à la communauté nationale peut être favorisé par des actions concrètes ou symboliques. La promotion de la culture française doit être une priorité car elle participe au rayonnement de la France dans le monde.

5.1 – Protégeons la double nationalité : elle est une chance pour nos deux pays

5.2 – Aidons les associations qui font partager la culture française

5.3 – Favorisons le rattachement à la communauté nationale par des actions concrètes ou symboliques, comme cultiver le devoir de mémoire en popularisant le port du bleuet
« Si jamais les Anglais viennent à la maison, ne les repoussez pas car, quoi que l’on dise sur eux, tous les Français que nous sommes en Angleterre, nous avons été accueillis comme des frères. » (Extrait de la dernière lettre à ses parents de Marcel Labas, membre du commando Kieffer, quelques heures avant de périr le 6 juin 44 lors du débarquement sur les plages de Normandie)

5.4 – La promotion de la culture française est une priorité : créons une coordination pour promouvoir les artistes français au Royaume-Uni !

Lire notre programme sur le site de campagne

Si vous souhaitez vous aussi encourager notre action, vous pouvez nous envoyer un message à notre comité de soutien : soutienconsulaires@oliviercadic.com

Pour nous contacter, merci d’adresser votre courriel à consulaires@oliviercadic.com.

Carole Rogers vous invite à soutenir la Société Française de Bienfaisance

Carole Rogers

Carole Rogers, vice-présidente de l’UFE GB, ancienne présidente de la Fédération des associations françaises de Grande-Bretagne

Comment mieux resserrer les liens d’amitié entre la France et le Royaume-Uni que de partager notre culture ? Nous avons beaucoup à partager, soyons-en heureux et fiers.

C’est pourquoi le programme de notre liste “L’union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre” souligne l’importance d’aider les associations qui permettent la diffusion et la promotion de la culture française.

Nous soutiendrons donc les associations qui valorisent nos produits culturels, comme nos produits du terroir, mais aussi la fraternité républicaine et le devoir de souvenir.

Comme il est advenu à bien des occasions, je m’associe aujourd’hui à Carole Rogers, candidate sur notre liste d’union, vice-présidente de l’UFE GB et ancienne présidente de la Fédération des associations françaises de Grande-Bretagne, pour vous inviter à un événement plein de chaleur humaine et de surprises intellectuelles :

FRENCH BOOKS SALE
mercredi 14, jeudi 15, vendredi 16 mai 2014
Institut Français, au club FAFGB
17 Queensberry Place, Londres
– M° South Kensington –

SFB Affiche Books sale 2014Chaque jour de 11h à 18h (21h le jeudi soir), petits et grands seront les bienvenus à l’Institut pour fureter, farfouiller et feuilleter dans les bacs afin de dénicher chacun sa perle rare pour un prix de vente de charité.

Vous êtes aussi invités à offrir vos livres, disques, DVD qui ne vous sont plus indispensables. Ils feront des heureux et leur prix de vente participera aux bonnes œuvres de la Société Française de Bienfaisance (SFB).

L’an dernier, la SFB a pu collecter £4,000 lors de sa première French Books Sale.

Cette organisation caritative britannique, présidée par Elisabeth Delahaye, a été créée en 1842 par quelques Français établis au Royaume-Uni, dont le but était de venir en aide localement à leurs compatriotes les plus vulnérables et notamment les plus âgés d’entre-eux. La SFB poursuit toujours cette mission.

La Société Française de Bienfaisance faisait partie des associations bénéficiaires du Noël des Français de Londres organisé l’an dernier par l’UFE GB (lire : “Le Noël mémorable des Français de Londres, organisé par l’UFE GB” du 29 novembre 2013).

Par ailleurs, je vous signale un autre rendez-vous d’importance, organisé par la Fédération des associations françaises en Grande-Bretagne (FAFGB). La FAFGB, créée en 1942, regroupe 70 associations membres. Sa présidente, Anne Faure, invite les associations et leurs membres à la

SOIRÉE DES ASSOCIATIONS
Lundi 19 mai 2014, à 19h
Club de l’Institut Français
17 Queensberry Place, Londres
– M° South Kensington –

Participation £10
RSVP : anne.faure@mac.com

Nous serons contents de vous y retrouver le plus nombreux possible.

Actualité fiscale pour les non-résidents : hâtez-vous de faire une réclamation contentieuse au sujet de vos prélèvements CSG/CRDS

Ecrire plumeLe programme électoral de la liste « L’union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre », soutenue par l’UMP, l’UDI et l’UFE, aux élections consulaires du 25 mai prochain vise à supprimer les discriminations qui pèsent sur les Français établis hors de France.

Dans le cadre de notre lutte contre les discriminations fiscales :
Nous réclamons l’abandon total pour les non-résidents de la CSG/CRDS de 15,5% sur les biens locatifs situés en France ou sur leur vente. Cette mesure, instituée en 2012 par le gouvernement socialiste de François Hollande est foncièrement injuste puisque les non-résidents ne bénéficient pas de la protection sociale française.
• Nous œuvrons pour que l’Union européenne condamne ce dispositif et permette le remboursement des sommes injustement collectées.
Lire notre programme sur le site de campagne

Nous dénonçons cette discrimination dont sont victimes les non-résidents français, depuis l’été 2012 : l’assujettissement à la CSG (contribution sociale généralisée) sur leurs biens locatifs en France et l’assujettissement à la CRDS (contribution au remboursement de la dette sociale) sur leurs revenus immobiliers réalisés en France.  En effet, les Français de l’étranger ne bénéficient pas de la protection sociale française.  Juridiquement, nous sommes dans un cas de double imposition, d’autant que la loi européenne prévoit qu’un résident de l’Union ne peux pas être soumis à des cotisations sociales dans plusieurs états membres à la fois (lire : “CSG sur les revenus immobiliers des non-résidents: Le directeur du centre des Impôts des non-résidents contredit la ministre Hélène Conway” du 11 février 2014).

Sollicitée par Claudine Schmid, députée UMP des Français de l’étranger, la Commission européenne a décidé de saisir la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) après avoir demandé des explications aux autorités françaises (lire : “CSG sur les revenus mobiliers des non-résidents : la Commission européenne ouvre une procédure d’infraction !” du 07 septembre 2013).

Dès l’origine, j’ai combattu ce déni de justice fiscale en alertant les médias d’abord (lire : Daily Telegraph : French second home tax grab ‘unconstitutional’ du 5 juillet 2012) puis au travers d’une lettre ouverte à la ministre copiée aux parlementaires (lire : “Prélèvement social sur les revenus immobiliers des non-résidents : Lettre ouverte à Hélène Conway-Mouret” du 12 juillet 2012). Les soubresauts de cette rocambolesque affaire fiscale qui défie autant le bon sens que les principes élémentaires du droit démontrent que le gouvernement socialiste agit avec beaucoup de légèreté.

Aujourd’hui, je reviens sur le sujet pour vous donner un précieux conseil : rédigez une « réclamation contentieuse » si vous voulez avoir une chance d’obtenir le remboursement de vos cotisations, dans le cas, fort probable, où l’état français serait condamné.

C’est le conseil de l’avocat fiscaliste international, Alain Marchand, qui était si brillamment intervenu pendant le Red Carpet Day, il y a quelques mois (lire : “Red Carpet Day Report (7) : Pour le fisc français, les honnêtes gens sont-ils des fraudeurs qui s’ignorent ?” du 07 janvier 2014).

Alain encourage les personnes ayant déjà effectué un versement au titre de la CSG/CRDS à faire une réclamation individuelle, sans attendre ! Il juge que “c’est le seul moyen de démontrer une contestation sur une imposition personnelle, et notre Etat n’a pas pour habitude de dégrever sans réclamation préalable ! ”

Comment procéder ?

Je vous renvoie à l’excellente note de synthèse, de Francis Nizet, conseiller élu à l’Assemblée des Français de l’étranger.

Le point point n°4 de cette synthèse (“Réclamation contentieuse à introduire pour un éventuel remboursement des prélèvements annulés“) vous précise clairement la démarche à suivre.

Le point n°5 concerne les contribuables qui n’ont pas encore payé leurs impôts 2014. Francis Nizet précise bien que faute d’effectuer les actions qu’il détaille, “vous ne serez pas remboursés rétroactivement si l’issue des recours auprès des institutions européennes était favorable ».

Lire la note de synthèse : Prélèvements sociaux des non residents de Francis Nizet du 15 avril 2014 (fichier pdf)

Pour compléter cette information, je partage avec vous l’actualité fiscale 2014 pour les non-résidents sous forme du diaporama, ci-dessous, qui permet de comprendre aisément comment sont imposées les plus-values réalisées sur un bien immobilier situé en France, détenu directement, ou bien encore sur les revenus fonciers tirés d’un bien loué.

Lorsque l’administration fiscale a fait cette présentation devant la commission Finances de l’AFE en mars dernier, j’ai à nouveau abordé la question de la mise en place dans la loi rectificative de 2012 des prélèvements sociaux, concernant essentiellement les revenus du capital immobilier et les plus-values relatives.

Olivier Lejeune, directeur divisionnaire de la Direction des résidents à l’étranger et des services généraux (DRESG) nous a confié que cette mesure a entraîné une vive réaction des non-résidents concernés, et pour cause : plusieurs milliers d‘appels et de courriels ont perturbé les services de DRESG !

Nous sommes toujours en attente d’une décision de la Cour de justice de l’Union européenne. Elle pourrait bien condamner la France cet été, ce qui malheureusement est souhaitable (lire : “Les foyers modestes seront les plus affectés par le Prélèvement social sur les revenus immobiliers des non-résidents” du 02 septembre 2012). C’est exactement ce qu’il s’est passé au sujet des OPCVM, Organismes de placement collectif en valeurs mobilières, il y a tout juste deux ans, et pour les mêmes motifs discriminants. Du reste, j’avais utilisé cet exemple pour contester le dispositif du gouvernement auprès des députés socialistes en commission Finances lors de la session de septembre 2012.

Mais c’était du temps de l’état de grâce fiscal, François Hollande avait décidé d’imposer à tout va.
En votant pour notre liste, vous pourrez dire STOP à François Hollande et permettre de changer la majorité au Sénat dès septembre 2014.

Elections consulaires 2014 : Lettre de soutien du sénateur Hervé Marseille et du député Meyer Habib, délégués nationaux UDI aux Français établis hors de France

A l’approche des élections, des personnalités de la société civile et du monde politique nous ont témoigné leur soutien.

Nous leur adressons toute notre gratitude pour la chaleur de leurs messages et leurs encouragements.

Si vous souhaitez exprimer votre soutien, merci de nous adresser un courriel à soutienconsulaires@oliviercadic.com

Nous remercions Hervé Marseille et Meyer Habib de leur soutien à notre liste l’Union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre.

Herve-Marseille UDI SoutienHervé Marseille, sénateur-maire de Meudon et délégué national UDI aux Français établis hors de France

Meyer Habib UDI Soutien

 

 

 

Meyer Habib, député des Français établis hors de France et délégué national UDI aux Français établis hors de France

“Cher Ami,

L’Exécutif national de l’UDI a décidé de vous accorder l’investiture de notre mouvement pour les élections consulaires du 25 mai prochain, pour la circonscription consulaire de Londres-Royaume-Uni.

Nous savons combien cet engagement vous tient à coeur, et combien il est important. Nous nous réjouissons que vous ayez choisi de défendre nos idées et nos valeurs humanistes, loin des extrêmes, dans cette élection.

Les résultats des élections municipales confirment la place incontournable de l’UDI comme 3ème force politique de notre pays en nombre d’élus et marquent le poids des centristes dans le paysage politique.

Nous souhaitons que ce nouvel élan contribue au dynamisme de votre campagne.

Le rendez-vous des élections consulaires est crucial pour nos compatriotes installés à l’étranger, véritable atout pour la France, qui sont un point de rapprochement entre les cultures et participent du rayonnement de la France à l’international.

Il est inadmissible d’envisager que les Français de l’étranger sont des exilés fiscaux. Il est nécessaire de lutter contre la double imposition, d’oeuvrer concrètement pour leur faire bénéficier des mêmes avantages sociaux que les Français de Métropole, de faciliter leurs démarches auprès des services consulaires et de porter leur voix dans le domaine de l’enseignement, de la culture, de l’action sociale et de l’emploi.

Votre liste de rassemblement est constituée de personnes dévouées, expérimentées et représentatives de la diversité de la communauté française locale. Vous offrez à nos compatriotes toutes les garanties pour les représenter et pour proposer des solutions répondant à leurs préoccupations quotidiennes.

Nous sommes donc heureux de vous apporter tout notre soutien dans la campagne électorale que vous menez avec conviction auprès des Français de Londres – Royaume-Uni.

Nous vous souhaitons un franc succès dans cette campagne à venir et appelons tous nos compatriotes à vous apporter leurs suffrages le 25 mai prochain.”

Meyer Habib et Hervé Marseille

Paris, le 08 avril 2014

Lire l’original de la lettre de soutien de Hervé Marseille et Meyer Habib

Lire aussi sur ce blog :
“Un premier parlementaire UDI élu par les Français de l’étranger” du 10 juin 2013
“Passeports : le député Meyer Habib s’indigne contre le traitement réservé aux expatriés” du 13 novembre 2013

Elections consulaires 2014 : Lettre de soutien de Christophe Frassa, Thierry Mariani, Christian Cointat, Louis Duvernois, Claudine Schmid, Christiane Kammermann, Alain Marsaud et Frederic Lefebvre, députés et sénateurs UMP représentant les Français établis hors de France

A l’approche des élections, des personnalités de la société civile et du monde politique nous ont témoigné leur soutien.

Nous leur adressons toute notre gratitude pour la chaleur de leurs messages et leurs encouragements.

Notre comité de soutien est présidé par Arnaud Vaissié, Président directeur général et co-fondateur d’International SOS et ancien président de la Chambre de commerce française en Grande-Bretagne.

Si vous souhaitez exprimer votre soutien, merci de nous adresser un courriel à soutienconsulaires@oliviercadic.com

Nous remercions les députés et sénateurs UMP de leur soutien à notre liste l’Union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre.

frassa_christophe_andre soutienChristophe-André Frassa, sénateur des Français établis hors de France, président du Groupe URDC (Union des républicains de la droite et du centre)

“Cher Ami,

Le 25 mai 2014 prochain, les Français de l’étranger éliront les conseillers consulaires qui les représenteront pour les six années à venir. C’est une élection importante et un formidable enjeu pour les trois millions de Français dans le monde.

Nous connaissons de longue date votre engagement, au service de nos compatriotes, qui vous donne l’expertise nécessaire pour soutenir, expliquer et défendre leurs attentes. Aussi, nous nous réjouissons que votre liste défende nos idées et nos valeurs dans cette élection.

La liste que vous conduisez présente par ailleurs l’ensemble des gages de sérieux et de qualité dans le choix rigoureux et pertinent des personnes qui vous accompagnent dans ce combat.

Votre liste est aujourd’hui la seule à pouvoir agir avec efficacité et détermination et nous sommes heureux de vous apporter notre soutien dans la campagne électorale que vous menez avec conviction auprès des Français du Royaume-Uni.

Nous appelons donc tous nos compatriotes à se mobiliser autour de votre candidature et à vous apporter leurs suffrages le 25 mai prochain.

Avec tous nos voeux de succès !”

Christophe Frassa, Thierry Mariani, Christian Cointat, Louis Duvernois, Claudine Schmid, Christiane Kammermann, Alain Marsaud et Frederic Lefebvre, députés et sénateurs UMP représentant les Français établis hors de France

Paris, le 31 mars 2014

Lire l’original de la lettre de soutien des députés et sénateurs UMP

Rencontre avec Yves Jego à Londres : L’UDI, une certaine idée de l’Europe

Chers compatriotes, chers amis,

Le Club UDI de Londres a le plaisir de vous convier à une rencontre avec Yves Jégo, délégué général de l’UDI, député-maire de Montereau et ancien ministre

Le thème abordé sera le suivant :

L’UDI, une certaine idée de l’Europe
Evénement reporté à une date ultérieure avec toutes nos excuses
Université de Westminster, Marylebone Campus, Wood lecture Theatre,
35 Marylebone Road,  London NW1 5LS (Métro : Baker Street)
(entrée située en face du musée de Mme Tussaud)

Yves Jégo

Yves Jégo

L’UDI, la nouvelle formation politique qui rassemble la famille centriste, est la plus populaire aux yeux des Français selon un récent sondage BVA (lire : “L’UDI organise son réseau à l’étranger et lance le club UDI-Royaume-Uni” du 02 novembre 2013).

Refonder une Europe plus intégrée et fédérée, protectrice de ses concitoyens et mieux armée dans la compétition internationale est la première priorité de l’UDI.

A moins de quatre mois de l’élection européenne, cette rencontre avec Yves Jégo sera l’occasion d’échanger sur les enjeux de cette grande échéance pour la France et l’avenir de l’Europe.

La rencontre sera suivie du verre de l’amitié.

Les portes ouvriront dès 18h00 pour une séance dédicace du livre d’Yves Jego : “La Campagne de France 1814”.

L’entrée est libre, mais nous vous remercions de bien vouloir nous informer de votre présence par e-mail : clubroyaumeuni@parti-udi.fr

L’UDI organise son réseau à l’étranger et lance le club UDI-Royaume-Uni

On ne pouvait rêver plus beau cadeau pour l’UDI, au moment où l’Union des Démocrates et Indépendants souffle sa première bougie : selon un sondage BVA, elle est la formation politique la plus populaire aux yeux des Français, puisque 44% des sondés déclarent en avoir une bonne ou une très bonne opinion, reléguant loin derrière les autres partis ! (voir : Cote de popularité des partis politiques – BVA – 28 oct 2013).

Un an après sa création, l’UDI, présidée par Jean-Louis Borloo, figure à la 1ère place sur la cote de popularité des principaux partis politiques, selon un sondage BVA

Dans le même sondage, c’est logiquement que Jean-Louis Borloo, notre président, se situe au troisième rang des personnalités dont les Français souhaitent qu’elles aient davantage d’influence dans la vie politique – derrière Manuel Valls et Alain Juppé – (voir : Cote d’influence des personnalités – BVA – 28 oct 2013)

Pour la famille de centre-droit qui a privilégié le travail des idées pour mieux s’affranchir des questions de personnes, il s’agit d’un immense satisfecit. Mais il ne doit pas occulter le travail qui reste à accomplir. L’aventure ne fait même que commencer pour les Français de l’étranger. Nous devons organiser un réseau militant UDI à l’étranger pour porter nos idées lors des élections européennes et consulaires du printemps prochain.

Comment s’organiser ? Un comité de pilotage est né.

Yves Jégo, délégué général et vice-président de l’UDI, en a fait l’annonce le 18 octobre dernier : Le réseau des Français de l’étranger est piloté par trois délégués nationaux :
• Meyer Habib, député, qui vous représente au sein des instances nationales
• Olivier Cadic, élu à l’Assemblée des Français de l’étranger, pour organiser le réseau
• Hervé Marseille, président de la Commission Nationale d’Investiture de l’UDI, pour suivre les sujets électoraux

J’ai la responsabilité d’organiser le réseau UDI à l’étranger afin de préparer les élections consulaires du 25 mai 2014 qui se dérouleront dans 130 circonscriptions du monde entier.

Sur le terrain, le réseau va se structurer progressivement en « Clubs UDI », idéalement selon les circonscriptions consulaires.

J’ai le plaisir de vous annoncer que nous lançons le :

Club UDI Royaume-Uni
Lundi 11 novembre à 18h30

à Londres près de St Pancras

Pour participer, merci d’envoyer un mail à : clubroyaumeuni@parti-udi.fr

Je vous invite chaleureusement à nous retrouver et partager un moment privilégié qui représentera je l’espère, un nouvel élan pour chacun.  Je vous encourage à découvrir notre pacte fondateur.

Notre vie quotidienne à l’étranger, avec ses atouts et ses vicissitudes, ne doit pas se départir d’une vision globale : j’ai la conviction que les expatriés doivent aider leurs compatriotes de l’Hexagone à comprendre les enjeux de la mondialisation et la légitimité des réformes nécessaires.

En promettant de réveiller la politique, Jean-Louis Borloo apporte le souffle du renouveau auquel les Français se montrent déjà sensibles. L’UDI a déjà réussi son pari de rassembler la famille des centristes. L’Union est en passe d’offrir une véritable alternative politique aux Français, populaire et non populiste, ouverte à l’autre, écologique, libérée des idéologies et désireuse de bouger la société parce que le monde bouge.

Photo Flickr de Sénat

Jean Arthuis veut réveiller l’Europe

J’ai participé au conseil national de l’UDI, ce samedi, qui a adopté dix décisions d’urgence pour combattre la crise en France. La première vise à relancer la croissance et l’emploi.

«Nous voulons une Europe de la croissance, car c’est l’Europe du plein emploi !», nous a déclaré Jean Arthuis, lors de ce conseil.

“Au moment où l’Europe est consacrée par le prix Nobel pour la paix établie sur le continent, l’Europe est le maillon faible de l’économie mondiale. Paradoxe!” déclare le vice-président de l’UDI en introduction.
A l’heure où les partisans des égoïsmes nationaux font valoir avec force leurs propositions démagogiques, beaucoup s’interrogent sur la destinée de l’Union européenne. Jean Arthuis, en charge du projet européen pour l’UDI, nous a proposé une vision pour l’Europe qui aurait plu à ses pères fondateurs.

Il a d’abord rappelé les principes sur lesquels cette Union a été construite, entrainant la nécessité d’une monnaie commune pour mettre un terme à l’instabilité monétaire qui brisait l’emploi.

Jean Arthuis constate que c’est l’absence de gouvernance de la zone euro qui a provoqué les errements budgétaires des pays membres de l’Union Européenne et les effets dont l’Europe souffre actuellement. Il trace une voie: “le cercle de l’euro devrait être le noyau de cristallisation du fédéralisme”. Seule l’Europe peut tenir tête aux Etats-Unis et à la Chine. L’affaire des panneaux photovoltaïques chinois vient justement de révéler publiquement nos dissensions à l’heure où l’Europe a tant besoin d’une politique commerciale favorisant l’emploi. Et pas seulement, “nous avons besoin d’harmoniser nos fiscalités, plaide-t-il, d’harmoniser notre politique environnementale, nos dispositions sociales et nos prélèvements obligatoires”.

En conclusion et clairement, Jean Arthuis prône une orientation de l’Europe vers une intégration politique pour la zone euro. Un second cercle réunissant les 27 pays de l’Union Européenne.

Je vous suggère de regarder cette vidéo de 4 minutes consacrée à l’intervention de Jean Arthuis, au Conseil national de l’UDI du 15/06/2013 au CNIT La défense :

Un premier parlementaire UDI élu par les Français de l’étranger

Toutes mes félicitations à Meyer Habib, candidat UDI victorieux à la législative partielle dans la 8ème circonscription des Français de l’étranger (Chypre, Grèce, Italie, Israël, Malte, Saint-Marin, Saint-Siège et Turquie). Il l’emporte largement (53,38%) sur la candidate UMP, Valérie Hoffenberg.

Meyer Habib

Le candidat de l’UDI, Union des démocrates et indépendants, a su rassembler largement après avoir éliminé le candidat PS au premier tour. Son ancrage local semble avoir été décisif. Souhaitons que cette leçon soit retenue à l’avenir par les état-majors parisiens dans le choix de leurs candidats.

Par ailleurs, dans la 1ere circonscription, chez les Français d’Amérique du nord (Canada, Etats-Unis), la revanche éclatante de Fréderic Lefebvre, candidat UMP, avec 53.72% des voix sur le candidat PS est aussi une excellente nouvelle. L’opposition s’est rassemblée grâce au soutien sans faille de Damien Regnart, élu AFE des Etats-Unis, et de Louis Giscard d’Estaing (UDI).

Ces résultats démontrent que le gouvernement n’est plus suivi par les électeurs. La majorité PS au parlement s’érode à la faveur de chaque scrutin partiel. J’espère que le gouvernement prendra en compte ces désaveux successifs et changera sa ligne politique.

Découvrir tous les détails des résultats sur le site France Diplomatie

La politique commerciale de l’Union européenne au cœur de la 3ème Matinale de l’UDI

“Il faut passer du Free Trade au Fair Trade.” Cette formule de Jean Arthuis résume la problématique de la politique commerciale de l’Union européenne, thème de la 3ème matinale de l’UDI à laquelle j’ai participé à Paris, le 25 avril dernier.

Dans un contexte oppressant, lié à une croissance atone et une concurrence mondialisée, nos entreprises européennes doivent conquérir des marchés hors de l’Union. Sauf que nombre de pays émergents ne l’entendent pas de cette oreille.

En appeler au commerce équilibré, au Fair Trade, c’est devoir envisager la question du concept de réciprocité. “Une idée révolutionnaire”, n’hésite pas à dire Viviane de Beaufort, professeur de droit européen à l’ESSEC.

Afin de développer les échanges internationaux, les états devraient s’accorder des avantages réciproques. Mais “des entraves toujours nouvelles apparaissent et elles sont de plus en plus sophistiquées”, regrette Viviane de Beaufort. Même si les entreprises européennes ont accès de droit aux marchés publics sur d’autres continents, quelques normes locales viendront les écarter de fait, illustre-t-elle.

Quand la bise fut venue…

Comment en sommes-nous arrivés à ce déséquilibre ? Pourquoi l’Union ne se protège-t-elle pas en réaction ? Nous nageons en plein dilemme…

L’Europe a longtemps ouvert ses marchés, notamment publics, dans l’idée que cette démarche “vertueuse” allait créer un effet d’entrainement. C’était du temps où “nous étions puissants” pour s’adonner au Free Trade, justifie la professeure de droit, mais “depuis dix ans la globalisation a changé le contexte. Les émergents veulent, eux aussi, leur place au soleil et pratiquent des règles différentes”…

Le rapport de Mario Monti demandé par le président Barroso (“Une nouvelle stratégie pour le marché unique” – mai 2010) a provoqué une prise de conscience. Faut-il emboiter le pas au Japon, au Canada ou encore aux USA sur la voie du néoprotectionnisme ? En aucun cas, pense chaque adhérent ou sympathisant de l’UDI présent dans l’assistance (lire : “Naissance de l’UDI, sous le signe de l’Europe” du 26 octobre 2012).

Il serait en effet aberrant de restreindre l’entrée à nos marchés, d’autant que nous avons besoin d’acheter de l’énergie et que 30 millions d’emplois sont directement liés à l’exportation. Il ne faut pas pour autant renoncer à les contrôler, préconise Mme de Beaufort, notamment en élaborant de nouveaux instruments communautaires pour redonner à l’Europe une posture plus offensive (règles anti subvention, anti dumping, contrôle des investissements directs étrangers, etc.).

Asseoir de nouvelles règles du jeu, plus équitables, est vital pour les exportations françaises qui dépendent essentiellement de grands contrats portés par nos champions nationaux du type Areva, Bouygues ou Alsthom.

Chacun pour soi et l’Europe pour tous

Pour autant, à l’heure où l’Union devrait resserrer les rangs pour restaurer sa puissance de négociation collective, on assiste à un désengagement alarmant de certains pays qui n’ont plus d’industrie à défendre ou même de l’Allemagne qui redoute des mesures de rétorsion des pays émergents, tel que la Chine !

Cette réaction en ordre dispersé exaspère Jean Arthuis pour qui l’Europe est devenue le “kaléidoscope de nos petites turpitudes nationales” à contretemps d’une mutation qui va finir par nous marginaliser : “la mondialisation c’est l’organisation du monde en grands espaces, l’Europe en est un”, ponctue le vice-président de l’UDI.

La capacité d’influence de l’Europe est-elle irrémédiablement en déclin ? Ce sujet n’est plus juridique mais politique, conclut Viviane de Beaufort

Toujours pas de pilote dans l’avion

Olivier de La Roussilhe, membre de la DG Trade à la Commission de Bruxelles, rappelle alors que si l’Union pèse toujours 25% du PNB mondial, l’érosion se profile puisque cette part passerait à 13% en 2030 et 8,6% 2050, selon certaines estimations. “Il faut être plus mordant dans les négociations sur les marchés mondiaux”, nous interpelle-t-il, en s’indignant qu’il n’y ait pas de politique industrielle européenne. Pas plus que de gouvernance de la zone euro, nous l’avons vu lors d’une précédente matinale de l’UDI (lire : “Les Matinales « Europe » de l’UDI : un bouquet de propositions pour redonner force et couleur à l’Union européenne” du 23 février 2013).

Jean Arthuis, sénateur : “La mondialisation c’est l’organisation du monde en grands espaces, l’Europe en est un.”

“Il faut un pilotage de l’Europe, abonde Jean Arthuis, à travers une vraie délégation et une souveraineté partagée.”

Débarquant tout juste de Corée par avion, Jean Claude Beaujour, avocat spécialisé en droit international, a eu le mérite de replacer le débat “sur le terrain, où nos entreprises françaises n’arrivent pas à être compétitives… en dépit de tout l’arsenal juridique.”

L’export pour les Nuls

Accompagnant au quotidien les entreprises qui exportent, Jean Claude Beaujour s’insurge évidemment contre les barrières juridiques et techniques et postule que “l’Union doit parler d’une voix en Asie”. Il observe toutefois que les Coréens décrochent aujourd’hui des marchés du seul fait de leur haut niveau de savoir-faire, reléguant les industriels français qui n’ont pas réalisé les investissements nécessaires, ni la formation du personnel dans certains secteurs.

Ainsi, un pétrolier français se fait actuellement construire une plate-forme en Corée pour exploiter du pétrole en Angola. Il y a 2000 emplois à la clé sur 4 ans. Le coût aurait été équivalent en France, mais la compétence fait défaut.

Autrement dit, la politique commerciale de l’Union européenne est une chose, la capacité des entreprises française en est une autre. “Les Indiens ou les Coréens s’implantent dans une région et restent dix ans, tandis que nous, Français, avons une vision à court terme” A l’export, l’amateurisme ne paie pas. On ne peut pas décrocher un gros marché en misant sur un coup de pouce de son ambassadeur ou encore en confiant les négociations à un jeune Volontaire international en entreprise.

Des européennes contre l’Europe ?

Un constat partagé par Jean Arthuis, en partie imputable à ces “boulets aux pieds” que se trainent nos entreprises nationales. Le sénateur rappelle que la France détient le record de la faiblesse des marges au sein des 17 états membres de la zone euro !  “Nos entreprises ont donc du mal à trouver des partenaires en capitaux propres” et fatalement “leur potentiel de production sera fragilisé”, déplore-t-il.

Le projet pour la France passe indubitablement par un projet européen vivifié et qui nous aidera à faire sauter nos archaïsmes nationaux. Jean Arthuis prévient que “la démagogie va tourner à plein régime” lors des prochaines élections européennes. L’UDI devra être en mesure de “démontrer les bienfaits” de l’Europe face au scepticisme ambiant et à la tentation du repli national.

Photo Flickr de Niccolò Caranti

Les Matinales “Europe” de l’UDI : un bouquet de propositions pour redonner force et couleur à l’Union européenne

Nous avons fait l’union monétaire avant de faire l’union économique. Tout le dilemme de l’Europe repose dans ce constat qui a pris un tour dramatique depuis la crise de 2008.

Les premières “Matinales Europe” de l’UDI se sont déroulées dans ses locaux parisiens devant un public captivé (21 fev 2013)

Jean Arthuis, vice-président de l’UDI, Union des démocrates et indépendants, en charge du projet Europe, réveille la politique comme le veut le slogan du parti de centre-droit présidé par Jean-Louis Borloo.

Le 21 février dernier, à Paris, chacun a pu entrevoir diverses solutions en assistant aux Matinales “Europe”, premier rendez-vous mensuel du groupe Europe de l’UDI organisé par sa secrétaire générale Sylvie Smaniotto, magistrate de la Cour des comptes.

On retiendra de la table ronde, présidée par Jean Arthuis, que l’Europe n’est pas un problème pour l’UDI, mais une solution face à nos insuffisances nationales, voire nos impasses. Un message qu’il faudra rendre audible lors des prochaines élections européennes de juin 2014, tandis que la croissance s’embourbe et que le scepticisme s’envole (lire : “Jean Arthuis veut s’entourer des Français de l’étranger” du 18 décembre 2012).

Les 17 pays (sur 27) qui ont adopté l’euro ont “contracté de nouvelles obligations sans commune mesure” avec ceux qui conservent leur propre monnaie, prévient Jean Arthuis. Les membres de la zone euro sont interdépendants, à leur grand regret parfois lorsqu’il faut sauver financièrement ceux qui ont plombé leur économie.

François-Xavier Priollaud a lancé ensuite la table ronde consacrée à la zone euro, au budget européen et à la fiscalité. En abordant à tour de rôle un thème spécifique, les interlocuteurs ont tous eu à coeur de démontrer qu’il était temps de dépasser nos logiques purement nationales et de s’engager vers une harmonisation de nos politiques budgétaire, fiscale et bancaire, le tout facilité par l’instauration d’un “gouvernement économique” permanent et légitime au sein de la zone euro.

Un président permanent

Pascale Andréani, ambassadeur et représentante permanente de la France à l’OCDE, est consternée par l’absence de “gestion quotidienne” de la zone euro. La faiblesse institutionnelle est telle que les pays ne prennent pas la peine de s’informer, en amont, des mesures économiques prises par leurs partenaires, explique-t-elle. On découvre dans le journal que l’Allemagne a augmenté de 3 points sa TVA.

Pascale Andréani propose la création d’un poste de président permanent, garant d’une concertation continue et approfondie sur les politiques économiques des 17. Loin d’entraver les souverainetés nationales, il faciliterait au contraire la tâche des divers parlements et gouvernements, conclut l’ambassadrice.

Jean Arthuis a cautionné cette idée jusqu’à proposer une fusion des fonctions de président du Conseil et de président de la Commission pour “incarner l’autorité de l’Europe”, tout en stigmatisant le “temps partiel” exercé actuellement par Jeroen Dijsselbloem à la tête de l’Eurogroupe, puisqu’il demeure le ministre des Finances des Pays-Bas.

Un budget pluriannuel de 5 ans

Pour sa part, Dominique Riquet, député européen, s’est désolé que le budget européen soit voté dans un cadre pluriannuel de 7 ans, tandis que les élections européennes se déroulent tous les 5 ans, ce qui implique qu’une assemblée nouvellement élue est tenue d’exécuter un budget qu’elle n’a pas voté. Par souci démocratique, il propose que le budget corresponde à la durée d’une législature.

Fédéraliste convaincu, Dominique Riquet, rappelle que le budget de l’Union pèse seulement 1% du PIB de l’Europe (130 milliards par an) contre 28% aux USA ! Une austérité voulue et entretenue, justifie-t-il, puisque le crédo du moment est “moins d’argent pour l’Europe”.

Des ressources fiscales propres à l’Europe

Sébastien Allaire (associé dans un cabinet conseil international) estime que l’Europe doit développer ses propres ressources fiscales, à la condition absolue de ne pas alourdir les contributions de ses citoyens. Il s’agirait donc de diminuer des ressources nationales au profit de l’échelon européen, par un transfert de TVA par exemple.

De nouvelles pistes peuvent être suivies comme la mise en place d’une taxe sur les transactions financières. Jean Arthuis a également évoqué une écotaxe pour les camions de plus de 3,5 tonnes et une taxe carbone aux frontières, lorsque des produits destinés aux consommateurs européens ont été produits dans un environnement moins contraignant que celui de nos industriels.

Tout à son idée de créer des recettes pour alimenter le budget européen, Sébastien Allaire a déploré que la “taxe Google” de 60M€ qui vient d’être obtenue par le gouvernement français n’ait pas pu servir de modèle à une taxe numérique européenne (s’appuyant sur le concept de “travail gratuit” développé par le rapport Collin & Colin) uniquement destinée à financer des projets numériques européens (cybercriminalité, connexions haut débit entre l’Europe et les autres continents…).

Une harmonisation des règles bancaires

A la lumière de la crise apparue en 2008, Thomas Guittet, auditeur général d’une banque européenne, plaide ardemment pour l’harmonisation des règles bancaires. “Aujourd’hui, les banques sont européennes et cela n’a aucun sens de les réguler au niveau national”, soupire-t-il. Il est absurde qu’une même banque implantée dans divers pays doive gérer un lot de contraintes régionales. Mais pas aux yeux des “régulateurs nationaux” qui ont chacun leur vision du marché, leur façon de gérer la crise, mais qui s’accordent tous sur un point : ne rien lâcher de leurs prérogatives. A l’arrivée, on ne favorise pas la construction européenne mais on multiplie des règles de supervision qui génèrent des distorsions de concurrence : par exemple, le prix de l’argent prêté varie selon le niveau de capital fixé pour couvrir les risques.

Pour Jean Arthuis aussi, l’Europe a besoin d’une “autorité de contrôle prudentiel et de résolution de problèmes auprès de la BCE, avec transfert des ressources des régulateurs nationaux”. Il ajoute que les secteurs de l’assurance et de la prévoyance, souvent intriqués aux banques, doivent suivre les mêmes règles de prudence.

Un pilotage économique

L’ancien député Patrick Hoguet pense que  la zone euro ne peut plus se dispenser d’un gouvernement économique. Pour soutenir sa proposition, il a égrené toutes les tâches, aujourd’hui plus ou moins en déshérence, dont “cette autorité de pilotage”   pourrait être chargée, au point de devenir la clé de voute des travaux des parlements nationaux.

Ce gouvernement économique aurait dans ses attributions de faire respecter les contraintes du Pacte budgétaire tout en définissant les orientations de la politique économique afin de renforcer la croissance et la compétitivité. Les mesures d’austérité qui affectent certains pays pourraient être reconsidérées à l’aune de cet esprit de relance et de croissance, en leur redonnant un peu d’oxygène.

Ses attributions s’étendraient évidemment au contrôle de la monnaie commune et des taux de change, le plus tôt serait le mieux, car aujourd’hui “Europe n’est pas pilotée”, ponctue Jean Arthuis.

Jean Arthuis, vice-président de l’UDI et sénateur de la Mayenne

Une union budgétaire en filigrane

Très attachée au projet européen, l’UDI milite fortement pour une synergie des politiques monétaires, économiques et financières, par le jeu de nouvelles institutions assises sur une légitimité démocratique (lire : “Naissance de l’UDI, sous le signe de l’Europe” du 26 octobre 2012). Il faut rapidement créer l’instrument pour que les gouvernements des états membres “pétrissent ensemble la pâte budgétaire”, image Jean Arthuis.

Le sénateur de la Mayenne a néanmoins attiré l’attention des auditeurs sur le Mécanisme européen de Stabilité qu’il analyse comme “une esquisse d’une mutualisation du surendettement”. Autrement dit, ce mécanisme, qui cohabite avec le budget pluriannuel dont il fut question, “préfigure l’union budgétaire” , a-t-il conclu sur une note confiante.

Pour assister aux prochaines matinales de l’UDI ou rejoindre l’UDI au Royaume-Uni, vous pouvez me contacter à udi.ffe@gmail.com.

Le site de l’UDI

Naissance de l’UDI, sous le signe de l’Europe

Pour le poète René Char, la lucidité est la blessure la plus proche du soleil.

Est-ce pour cela que le congrès fondateur de l’UDI (Union des démocrates et indépendants) a réussi à marier si justement l’analyse la plus crue de l’état de notre société avec l’élan le plus chaleureux de ses participants ?

Seule la lumière froide du réalisme pourra dissiper nos ténèbres où luisent faiblement, çà et là, quelques braséros idéologiques, aussi dérisoires que trompeurs. Alors seulement, nous discernerons les solutions. Parce qu’elles sont là, juste au bout de notre nez, comme l’évidence même.

Jean Arthuis, à la Mutualité, le 21octobre 2012

Par exemple, comment faire face à la “réalité d’une menace de chaos généralisé sur le continent européen” nous interpelle Jean Arthuis. Il clame qu’il faut doter l’Union d’une gouvernance spécifique de la zone euro. Ce n’est pas une option pour favoriser la sortie de crise, mais un impératif : “L’alternative est simple : le fédéralisme ou le chaos !”, a-t-il lancé devant les travées des fondateurs de l’UDI, à la Mutualité, le 21 octobre dernier à Paris.

Lui, le fondateur de l’Alliance centriste, parle désormais au nom d’un nouveau parti, l’Union des Démocrates et Indépendants (UDI), dont il est le vice-président. “L’UDI est le seul parti engagé sans réserve et unanimement pour une Europe politique, proclamant son option fédérale”, résume-t-il d’un trait fougueux (lire aussi : “Les élus des Français de l’étranger débattent avec Jean Arthuis de l’avenir du centre et de la droite” du 12 septembre 2012).

“Nous sommes la famille européenne”, entérine Jean-Louis Borloo, président charismatique de ce mouvement naissant. Il lui semble une évidence que tout Etat qui a adopté la monnaie unique a déjà choisi un partage de souveraineté. C’est aussi sous le signe de l’Europe que l’ex-ministre de l’Ecologie a décliné avec gravité ses prétentions environnementales.

Jean-Louis Borloo, président de l’UDI, ambitionne de devenir le premier parti de France

S’il fut abondamment question d’Europe dans le cadre d’un événement national c’est que l’esprit d’ouverture des centristes y conduit naturellement, considérant comme Jean Arthuis que l’Union européenne n’a “sans doute jamais été aussi nécessaire qu’aujourd’hui” à condition de la sortir de son statut de “nain politique”. L’ouverture d’esprit s’incarne aussi dans une défiance innée vis-à-vis des corporatismes et des conservatismes. Ainsi, la naissance de l’UDI, soutient Jean-Louis Borloo, est “une bonne nouvelle pour tous ceux qui veulent une France ouverte sur le monde, ouverte sur l’Europe, ouverte à l’autre, pour les libertés, pour l’humanisme, pour la République, le refus du repli sur soi et du sectarisme”.

Le président a donné le ton et trouvé les mots qui ont suscité l’enthousiasme des 3000 participants au congrès, heureux de vivre l’union de la famille centriste, un terrain en friche totale il y a encore quelques mois ! Je m’enorgueillis d’être l’un des membres fondateurs de l’UDI, prolongeant ainsi mon engagement au sein de  l’Alliance centriste de Jean Arthuis où je représente la fédération des Français de l’étranger. A noter que nous étions plusieurs Français établis hors de France, présents à la Mutualité, en provenance du Royaume-Uni, de la Belgique, du Maroc ou de la Tunisie.

Si “l’UDI a vocation à constituer une coalition avec l’UMP”,  nous dit Jean-Louis Borloo, il ambitionne néanmoins d’en faire “le premier parti de France”. Je crois que c’est possible, je crois que c’est souhaitable et je m’y emploierai obstinément.

Pour rejoindre la fédération des Français de l’étranger de l’UDI, informations et inscriptions à udi.ffe@gmail.com.

Lire le discours de Jean Arthuis du 21 octobre 2012, vice-président de l’UDI (fichier pdf)

Le site de l’UDI : www.parti-udi.fr

Je vous invite à découvrir cette courte vidéo “Je suis UDI !”, présentée avant le discours de Jean-Louis Borloo.

Je suis UDI par TV-udi