Depuis le début de l’année, 75 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-conjoint. “C’est la grande cause du quinquennat. Sans moyens, nous n’y arriverons pas”, dit ma collègue Annick Billon, présidente de la délégation aux Droits des femmes au Sénat, qui a initié une tribune que j’ai cosignée avec 151 sénateurs de tous bords.

Nous appellons l’Etat à investir plus de ressources financières et humaines pour “enrayer le fléau” des violences conjugales en offrant un secours pratique et immédiat aux femmes en danger, avant qu’il soit trop tard.

Lire la tribune (dans Libération – 05/07/2019)