Restriction du recensement aux seuls entrepreneurs qui souhaitent bénéficier du label.

Mon amendement avait pour objet d’inscrire un principe essentiel dans cette démarche de cartographie des entrepreneurs français à l’étranger : le volontariat.

Il n’appartient pas à un comité de déterminer seul si un entrepreneur doit être recensé comme entrepreneur français à l’étranger.

Ainsi, il convient de réserver l’identification des entrepreneurs français à l’étranger comme tels uniquement à celles et ceux qui le souhaitent, afin d’éviter de faire courir des risques à certains d’entre-eux, par exemple les entrepreneurs binationaux.