G.D. du Luxembourg : Paul Dühr, ambassadeur (25 janv.)
J’ai eu l’occasion de partager ma vision positive de l’Union européenne et de rappeler que désormais aucun pays de l’UE ne possède la taille critique pour se confronter seul à un monde globalisé.
Coopération : association FERT (26 janv.)
Rencontre avec Anne Panel, directrice de Fert, une association française de coopération internationale créée il y 30 ans par des céréaliers. Cette ONG favorise le développement de l’agriculture dans les pays en développement par la formation et l’accompagnement.
Trois semaines auparavant, à Madagascar, j’avais rencontré Solange Rajaonah et Philippe Henry de l’agri-agence d’Antsirabe qui facilite l’insertion professionnelle des jeunes agriculteurs (lien).
Développement international de la Ratp (26 janv.)
Heureux d’avoir accueilli au Sénat Élisabeth Borne, présidente de la RATP, ainsi que Nicolas Blin, responsable des relations internationales et Florence Rodet, secrétaire générale aux Relations internationales.
RATP Dev, la filiale internationale du groupe, est déjà présente dans 15 pays en Europe, Amérique, Asie et Afrique pour gérer des réseaux de transports urbains et interurbains. Notre savoir-faire a ainsi trouvé place dans le métro d’Alger, les tramways de Casablanca ou les centaines de bus dans les rues de Londres, sans parler d’Atlanta, Johannesburg, Sao Paulo ou Ryad.
Colloque Franco-Britannique (27 janv.)
Dans le prestigieux Trianon Palace Versailles, j’ai assisté au 26ème colloque Franco-Britannique qui a lieu chaque année alternativement au Royaume-Uni et en France. Lors du diner inaugural, Georges Osborne, ancien ministre des Finances britannique est revenu sur le choc provoqué par le Brexit en 2016.
Parlementaires, chefs d’entreprises, rédacteurs en chef des principaux quotidiens, hauts-fonctionnaires, les intervenants étaient de haut vol et les discussions passionnantes. Je suis intervenu pour partager la perception des 2500 compatriotes rencontrés suite au Brexit, lors des conférences que j’ai organisé au Royaume-Uni.
J’ai également participé à la table ronde intitulée : « La montée des populismes dans le monde occidental ».
Comment ne pas penser alors à Clémenceau et aux protagonistes qui se réunissaient en 1919 dans la salle où nous nous trouvions pour rédiger le traité de Versailles ? Quelques années plus tard, le monde plongeait dans le chaos.