Ce 23 septembre, j’ai eu le plaisir d’accueillir une vingtaine de membres de l’association de l’Union des Français de Sarre (UFS) en visite au Sénat.

A cette occasion, j’ai été ravi de revoir Janine Loock (à l’image), sa présidente, ainsi que Myriam Bouchon, consule honoraire à Sarrelouis qui est une des principales villes du Land de la Sarre en Allemagne. Janine m’avait accompagné avec le consul général Sébastien Girard, dans toutes les étapes de mon déplacement à Sarrebruck à la rencontre d’institutions françaises, allemandes et franco-allemandes établies dans la capitale sarroise. C’était il y a exactement deux ans (compte-rendu).

L’UFS fêtera ses 60 ans en 2023 ! Cette association, affiliée à l’Union des Français de l’Étranger (UFE), est donc une véritable institution auprès des Français résidant en Sarre ou dans la Grande Région, mais elle a aussi attiré quelques Lorrains. Il faut dire que Sarrebruck n’est qu’à 2km de Forbach. Ceux-ci sont évidemment les bienvenus pour participer aux voyages culturels, événements mémoriels et de multiples manifestations organisées quasiment chaque mois.

L’un des objectifs de l’UFS est renforcer les relations amicales entre les ressortissants francophones et nos amis allemands, et plus particulièrement en Sarre. La décision prise par Berlin de fermer sa frontière pour cause de pandémie a alimenté la conversation durant notre repas au Sénat. Une situation qui ne devrait plus se reproduire, estime chacun.

Il fut également question de la fiscalité des Français non-résidents (habitant la Sarre) : le niveau d’imposition de leurs revenus de source française (retraite, biens immobiliers…) leur apparait inéquitable.

Nous avons également évoqué les progrès obtenus sur les certificats d’existence, qui ont été traduits en allemand suite à la demande exprimée par Myriam Bouchon lors de mon passage à Sarrebrück, et les attentes des Français de Sarre.