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PLF2020 – Action Extérieure de l’État – Enseignement – Vidéo (1:50)

Lors des débats sur le projet de loi de finances, ce matin, je me suis exprimé au sujet de l’Agence pour l’Enseignement français à l’étranger (AEFE)

L’objectif de doublement du nombre d’élèves à l’étranger, d’ici 2030, doit-il entièrement reposer sur l’AEFE ? L’Agence est sujette à des critiques quant à son fonctionnement, notamment de la part du Trésor à cause d’un budget toujours déficitaire et une masse salariale trop élevée.

A titre d’exemple, lors du dernier conseil d’administration, il a été révélé que les 10 premières rémunérations de l’Agence à l’étranger représentaient, à elles seules, un volume de 1,8 millions d’euros.


Pour atteindre l’objectif du doublement, j’ai pointé l’importance de relancer l’Anefe qui permet aux établissements scolaires d’obtenir la garantie financière de l’État pour leurs investissements immobiliers.

PLF 2020 – Coordination du travail gouvernemental – Vidéo (7m)

Le 28 novembre, en ma qualité de rapporteur des crédits du programme 129 «Coordination du travail gouvernemental» (gestion de crise, cybersécurité, renseignement), et au nom de mon collègue Rachel Mazuir, je suis intervenu en séance publique pour donner un avis favorable au crédit du programme 129, en me réjouissant du renforcement des moyens de l’ANSSI et en encourageant le gouvernement dans cette direction.

Par ailleurs, j’ai regretté le manque de transparence dans la présentation des crédits de personnel du programme, qui sont en baisse alors que les effectifs augmentent.

J’ai aussi relayé, au nom de mon collègue Rachel, notre incompréhension face à la décision de suppression de l’INHESJ et nos inquiétudes quant aux moyens de l’IHEDN.

ANSSI : Agence nationale de sécurité des systèmes d’information
INHESJ : Institut des hautes études de Défense nationale
IHEDN : Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice

PLF2020 – Cybersécurité – Mes questions à Florence Parly + ses réponses (2 vidéos 1:40 et 1:50)

Invitée à s’exprimer devant notre commission des Affaires étrangères et de la Défense, dans le cadre du projet de loi de finances pour 2020, j’ai interrogé Florence Parly, ministre des Armées, sur les orientations du ministère en matière de cyberdéfense. 

Rappelons que la cyberdéfense est une priorité absolue de la ministre des Armées. Nous y consacrons 1,6 milliard d’euros entre 2019 et 2025 et 4000 cyber-combattants seront sous les drapeaux en 2025. 

J’ai été très satisfait de la réponse de Florence Parly.

HEBDOLETTRE n°96 – Rallumer le feu de l’enseignement français à l’étranger (édito) – Téléthon des Français de l’étranger – UDI : conseil national – PLF2018 : intervention au nom du groupe UC lors de la discussion générale sur la mission “Action extérieure de l’Etat” (vidéo) – PLF2018 : intervention sur le réseau AEFE (vidéo) – PLF2018 : mon amendement pour soutenir la fondation Alliance française (vidéo) – PLF2018 : rapporteur de la commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées pour le programme 129 “Coordination du travail gouvernemental” (vidéo) – En circonscription en ESPAGNE – Barcelone / 13-14 nov. 2017

Lire : l’HEBDOLETTRE n°96 – 14 décembre 2017Logo HebdoLettre bleu - Rond75

Edito de l’HebdoLettre n°96

Comme chaque année, lors de la discussion budgétaire au Sénat, nous débattons de l’enseignement français à l’étranger. La France y consacre plus d’un demi-milliard d’euros d’argent public.

Et comme chaque année, résonnent les trompettes de la renommée : excellence pédagogique, instrument de rayonnement, réseau unique au monde…
Rien à redire, sinon de rappeler que le réseau AEFE accueille moins de 25 % des enfants français résidant à l’étranger (51 % en 1980).

Le gâchis est déjà immense : des dizaines de milliers d’enfants français nés à l’étranger ne parlent pas notre langue, faute d’avoir accès à son apprentissage dans leur pays d’accueil.

Visuel HL94Lors des débats, j’ai proposé à notre ministre Jean-Yves Le Drian de fixer deux objectifs à notre enseignement à l’étranger :
1 – Viser la maîtrise du français par 100 % des enfants français vivant à l’étranger, en créant un chèque éducation,
2 – Doubler le nombre d’écoles françaises d’ici à cinq ans, pour que le réseau compte 1000 écoles, puis 2000 écoles d’ici à dix ans, en libérant le système.

C’est en libérant le système que l’on fera éclore l’initiative privée, seule capable de prendre le relais d’un modèle économique à bout de souffle, construit sur de l’argent public. Lire la suite et découvrir l’HebdoLettre n°96

PLF 2018 – Action Ext. de l’État – Débats / AEFE (Vidéo – 2:35)

Intervention au sujet du risque de “déconventionnement” des établissements scolaires du réseau AEFE, parce qu’ils vont voir leur redevance passer de 6 à 9 % (de façon temporaire, nous assure le ministre Jean-Baptiste Lemoyne, puisqu’elle devra repasser à 7,5 % en 2019 et à 6 % en 2020).

J’ai rappelé qu’il n’y avait pas de différence d’enseignement entre les établissements EGD, conventionnés ou homologués, ces derniers constituant même la majorité du réseau (265). De plus, si un poste d’expatrié est remplacé par un poste de résident, ce n’est pas un drame. il ne faut pas brimer toute tentative de réduire la dépense publique.

Voir la VIDÉO (2:35) ou lire l’intervention

PLF 2018 – Action Ext. de l’État – Discussion générale (Vidéo – 8m)

Projet de loi de finances pour 2018 :  Intervention au nom du groupe UC lors de la discussion générale sur la mission “Action extérieure de l’Etat”, lors de la séance du 4 décembre en présence de Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des affaires étrangères et de Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères.

Le programme 151 voit ses crédits stabilisés quand ceux du programme 185 sont en légère hausse. S’ils étaient fusionnés, ces deux programmes représenteraient un peu plus de 1 milliard d’euros ; près de la moitié est consommée par l’AEFE, dont 100 millions pour les bourses. L’enseignement français à l’étranger pèse autant que tout le reste !

Et pourtant, des dizaines de milliers d’enfants français naissant à l’étranger n’ont pas accès à l’apprentissage de notre langue et ne la parlent pas.

Dans un contexte concurrentiel marqué par l’expansion des écoles libres anglo-saxonnes (2 nouvelles écoles par jour dans le monde), le maintien de 74 établissements « en gestion directe » n’est plus tenable.

Les obstacles administratifs pour homologuer une nouvelle école doivent être levés.

J’ai proposé au ministre deux objectifs à notre enseignement à l’étranger :
– Viser la maîtrise du français par 100% des enfants français à l’étranger en créant un chèque éducation.
– Doubler le nombre d’écoles françaises à 5 ans pour que le réseau s’élève à 1000 écoles, puis à 2000 écoles à 10 ans, en libérant le système.

Créons le nouvel élan que tout le monde attend !

Voir la VIDEO (8m) ou lire l’intervention