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HEBDOLETTRE n°63 – Attentats en France et Réserve parlementaire (édito) – UDI Actu : Investitures Législatives 2017 (Français de l’étranger) – Spécial 14 juillet : Barcelone, Londres et Anvers – Brexit : Compte rendu des réunions au Royaume-Uni (3 vidéos) – En circonscription en Espagne / Madrid (02-03 juin 2016) – En circonscription au Royaume-Uni / Londres (18 juin 2016) – En circonscription en Espagne / Barcelone (13-14 juillet 2016) – En bref, au Sénat du 21 juin au 19 juillet 2016

Lire : l’HEBDOLETTRE n°63 – 29 juillet 2016Logo HebdoLettre bleu - Rond75

Edito de l’HebdoLettre n°63

Les attentats de Nice et de St-Etienne du Rouvray nous rappellent douloureusement que la France est une cible de choix pour les terroristes.

Daesh, Al Qaida et consorts veulent détruire nos valeurs. Nous devons les combattre avec fermeté mais sans piétiner nos libertés. Sinon, ce serait donner raison à nos ennemis.

A Beyrouth, J’ai rencontré le général Jean Kahwagi, commandant en chef de l’armée libanaise qui repousse avec succès Daesch. Je demanderai qu’il soit auditionné par le Sénat.Visuel HL55

Le Liban est un exemple en matière de sécurité passive. Il y a un consensus de la population libanaise pour que le pays ne soit pas déstabilisé. J’espère que ce modèle saura nous inspirer.

Je vous annonce qu’il est possible de candidater pour obtenir une “dotation d’actions parlementaires” pour l’année 2017.

Plus connu sous le nom de “réserve parlementaire”, ce dispositif permet aux parlementaires de contribuer au financement de projets associatifs… Lire la suite et découvrir l’HebdoLettre n°63

HEBDOLETTRE n°47 – Parrainage des candidats à la présidentielle par les conseillers consulaires – En circonscription en Bulgarie / Sofia (17 et 18 janvier 2016) – 10eme Rencontres sur la sécurité des entreprises françaises à l’étranger – UDI Actualités et Médias

Lire : l’HEBDOLETTRE n°47 – 03 février 2016Logo HebdoLettre bleu - Rond75

Edito de l’HebdoLettre n°47

Le 20 mars prochain, il reviendra aux adhérents de l’UDI de dire s’ils veulent porter un projet devant les Français en 2017 ou bien se rallier au vainqueur de la primaire LR, en participant à la joute ou pas d’ailleurs.

Je ferai mienne la décision des militants et je la défendrai vaillamment. Ce même esprit démocratique me conduit à saluer la démarche initiée par Martine Schoeppner(UDI). La vice-présidente de l’AFE et conseillère consulaire à Munich souhaite que les conseillers consulaires soient habilités à parrainer un candidat à la présidentielle.Visuel HL47 Martine ne comprend pas que ces Français élus par le vaste peuple des expatriés ne disposent pas de cette prérogative républicaine, pourtant reconnue à nombre d’élus de l’Hexagone.

C’est donc bien à travers le prisme du respect de la fonction de conseiller consulaire – et à travers eux, les 1,6 millions de Français inscrits au registre mondial qu’ils représentent – que je veux amender en ce sens la proposition de loi relative à la “modernisation des règles applicables à l’élection présidentielle”. Lire la suite et découvrir l’HebdoLettre n°47

 

Déplacement en Bulgarie (Sofia – 17 et 18 janvier 2016)

BenoitMon premier voyage en Bulgarie restera associé au chaleureux lancement d’une représentation UFE à Sofia, à l’initiative de Benoit Mayrand (à l’image), conseiller consulaire UDI (Roumanie-Moldavie) et lui-même fondateur et président de l’UFE Bulgarie. Je le remercie de m’avoir accompagné lors de ce déplacement.

L’absence de l’ambassadeur de France, Xavier Lapeyre de Cabanes, retenu à Skopje fût relative. Mes interlocuteurs bulgares ont unanimement loué son rôle positif sur les relations franco-bulgares. Je remercie Dominique Waag, première conseillère, pour  son accueil et toute l’équipe de l’ambassade qui m’a guidé lors de ce séjour.

A Sofia, notre pays affronte une vive concurrence de la part d’autres pays européens. En effet, même si Victor Hugo fût l’un des premiers intellectuels à souhaiter que la Bulgarie s’émancipe de la domination Ottomane, d’autres pays européens à l’image de l’Allemagne ont développé historiquement des relations plus étroites avec la Bulgarie.

Politique

D_GlavchevRencontre avec le député Dimitar Glavtchev

J’ai visité l’Assemblée nationale bulgare en compagnie de son vice-président, Dimitar Glavtchev, député de Sofia (membre du parti GuERB).

Nous avons évoqué les priorités de leur travail parlementaire : réforme judiciaire, loi anti-corruption et stabilité institutionnelle. Un vaste programme. En effet, les Bulgares veulent “simplement” que leurs dirigeants appliquent enfin les principes adoptés après la chute du communisme et plus encore après l’adhésion à l’UE, à savoir ceux de la démocratie libérale

Dimitar Glavchev exprime sa reconnaissance envers l’Europe et la France pour leur aide et il exhorte nos entrepreneurs à s’intéresser à la Bulgarie pour y investir.

Relations commerciales

Residence_SofiaServices économiques et chambre de commerce

Photo : Préparation de la réunion économique à la Résidence de l’ambassade : (de face) Dominique Grancher, conseiller économique ; Benoit Mayrand, conseiller consulaire UDI ; Dominique Waag, première conseillère ; Isabelle Vernice-Engelke, consule de France ; Claude Girard, premier secrétaire.

J’ai eu l’opportunité de rencontrer le milieu d’affaires français à Sofia, en deux temps. D’abord, un déjeuner à la Résidence avec des personnalités du secteur économique, organisé par Dominique Grancher, conseiller économique de l’ambassade ; ensuite, lors d’une rencontre avec des membres de la CCI France Bulgarie, organisation dirigée par Vessela Todorova-Mosettig et présidée par Stéphane Delaye qui justifie d’une remarquable connaissance du pays liée à ses relations professionnelles développées au sein de l’Agence Havas.

La CCIFB et l’agence Business France de Sofia, dirigée par Igor Chlapak, conjuguent leurs efforts pour promouvoir le savoir-faire français et accompagner nos industriels dans leurs démarches.

Nos solutions rencontrent beaucoup d’intérêt en matière d’environnement sur des sujets aussi variés que l’efficacité énergétique des bâtiments, le traitement de l’eau, la bonne gestion des déchets ou les transports écologiques, dans le sillage de quatre grandes entreprises implantées en Bulgarie : Véolia, Schneider Electric, Saint Gobain et Renault.

Nos entreprises du secteur des TIC, notamment les jeux vidéo et la téléphonie, sont les bienvenues pour accompagner les initiatives bulgares en faveur de l’innovation. A cet effet, on peut utilement entrer en contact avec le nouveau Sofia Tech Park. A noter que deux institutions françaises clés en matière de promotion des sciences et du numérique sont implantées en Bulgarie : la Cité des sciences et de l’industrie et la Gaité lyrique.

VesselaPhoto : Vessela Todorova-Mosettig, directrice et Stéphane Delaye, président, lors de la soirée fêtant le 200ème adhérent de la CCI France Bulgarie.

Nous avons aussi évoqué la coopération dans le domaine de la recherche en agronomie (avec l’INRA) et les opportunités de marché de la filière animale (importation de races d’élevage, par exemple). Le secteur de la construction n’est pas en reste, comme me l’a expliqué Patrick Favre qui a une entreprise de bâtiment depuis 23 ans sur place. Cet entrepreneur à succès est aussi président d’honneur de la CCIFB.

Enfin, comme d’autres pays de l’Est, la Bulgarie offre des solutions de sous-traitance de qualité à bas coûts (électronique, textile, mécanique..) permettant de rivaliser avec les pays émergents. Les entreprises sont soumises à une flat tax de 10%.

Entreprendre en Bulgarie c’est aussi intégrer les particularités de l’économie bulgare. Je remercie les entrepreneurs ou managers, issus de tous secteurs d’activité qui ont partagé leur expérience :
Aurore Breton (imprimerie), Jean-François Cheveux (automobile), Marc Ducos (photographie), Vincent Dujardin (hôtellerie), Benoit Garbolino (imprimerie), Cédric Gaypellier (transport), Arnaud Leclerc (banque), Christophe Lemaire (tourisme), Sophie Pellerin (mode), Veselin Penchev (titres de service).

Communauté française

Consulat_SofiaVisite du consulat

Isabelle Vernice-Engelke, consule de France, m’a présenté ses services qui se déploient au service de 1477 Français officiellement inscrits au Registre des Français établis hors de France. Ce chiffre représente 778 familles et il inclut 509 binationaux. A noter aussi que 74% sont enregistrés à Sofia, la capitale bulgare.

Nous avons balisé les difficultés que peuvent rencontrer nos compatriotes, notamment auprès de l’administration et de la justice locale. Nous avons ensuite librement évoqué l’évolution du réseau consulaire et les solutions alternatives aux pratiques actuelles, en recourant notamment aux nouvelles technologies.

UFE 1Lancement de l’UFE Bulgarie

Photo : Benoit Mayrand, conseiller consulaire Roumanie-Moldavie et président de l’UFE Bulgarie.

Devant une salle pleine à craquer, j’ai eu le plaisir de participer à la soirée de lancement de l’UFE Bulgarie.

L’Union des Français de l’étranger (UFE) a été créée en 1927 ! Cette association, reconnue d’utilité publique en 1936, est active dans une centaine de pays dans le but de maintenir un contact étroit entre les Français de l’étranger et la France, ainsi que de défendre leurs intérêts moraux et matériels.

UFE_Sofia2 A cette occasion, j’ai rencontré de nombreux acteurs de la communauté française qui ont assisté à la conférence, puis à la réception de la CCIFB qui a suivi pour fêter cette nouvelle représentation.

Mes vives félicitations à Benoit, initiateur de cette démarche à Sofia.

Education

Lycée 1Visite du lycée français Victor Hugo

Accueilli par le proviseur Pascal Moureau, j’ai découvert le lycée français de Sofia, conventionnée AEFE, fréquenté par 737 élèves. Particularité : 2/3 des élèves sont bulgares.

Pour répondre à la demande, Victor Hugo ouvrira une 3ème classe de sixième l’an prochain et travaille sur un projet d’extension de 5M€. Les parents d’élèves s’en félicitent, mais ils s’inquiètent tout autant de voir le nombre d’élèves français se diluer un peu plus chaque année.

Selon le président du comité de gestion, Marc Bolard, les expatriés souhaitent des écoles françaises où les enfants français sont majoritaires pour conserver leurs repères en passant d’un pays à l’autre. L’enjeu, comme on le voit à Sofia, est de disposer de suffisamment de professeurs français et de gérer le niveau de qualité les ressources humaines locales. Une préoccupation pleinement partagée par les parents bulgares.

Lycée 2Cette difficulté est exacerbée par le refus de l’AEFE de créer un poste supplémentaire de résident.

Sur un plan pédagogique, l’établissement se distingue par un stage d’observation en milieu professionnel, au cours de la Seconde, suivant les goûts de l’élève qui peut ainsi se retrouver auprès d’un chirurgien, d’un avocat ou un manager.

Pour entrer à l’université bulgare, il faut passer un examen. Obstacle plutôt rédhibitoire, puisque 95% des élèves partent à l’étranger pour faire leurs études supérieures : 2/3 en France et 1/3 au Royaume-Uni, en Suisse ou au Canada.

Culture française

Institut_Sofia1Visite de l’Institut français

Le bâtiment de l’Institut a été rénové entre 2011 et 2013 dans le respect des critères locaux (feuilles d’or dans la salle polyvalente…). Un investissement de 2M€ nécessaire au confort, tout autant qu’à l’image de la France. Ce dernier point préoccupe vivement Guillaume Robert, directeur de l’Institut français, qui lutte contre l’érosion continue de l’apprentissage de notre langue, liée à un déficit d’imaginaire pour la France.

Notre influence dans la mode, le luxe, le vin ou la culture n’est pas contestée, mais elle ne suffit plus aux yeux des Bulgares qui sont avides d’opportunités et se tournent vers des pays qui semblent plus ouverts et entreprenants dans la construction de leur futur.

Institut_Sofia2A tous égards, la France est challengée par les pays anglo-saxons, mais tout autant par la Pologne, la Tchécoslovaquie ou encore le Brésil. Et puis, les Bulgares sentent que les Français ne leur portent pas une affection particulière. Rien d’étonnant qu’ils privilégient l’anglais dans leur choix de langues et qu’ils partent étudier en Allemagne ou en Autriche (8000 étudiants bulgares chacun), plutôt qu’en France (2000 étudiants).

Mais Guillaume Robert se bat d’arrache-pied. Il n’hésite pas à déplacer les personnalités locales à Paris. Il multiplie des initiatives pour promouvoir le français et renforcer notre attractivité auprès des étudiants : arrivée de 10 lecteurs de FLE (Français langue étrangère) pour enseigner dans les sections bilingues de 7 villes et 3 universités (45.000 euros/an coût pour la part française) ; développement des formations en français dans les universités ; réédition du salon Etudes et carrières ; développement du programme “1 école, 1 entreprise”…

Déplacement en Roumanie – Bucarest & Cluj-Napoca (23 au 25 sept. 2015)

La première année de mon mandat de sénateur s’est ponctuée par un déplacement en Roumanie. Le conseiller consulaire UDI, Benoit Mayrand, m’a accompagné tout au long d’un parcours passionnant. Celui-ci a débuté devant le match de coupe du monde de rugby France-Roumanie (!), au milieu de la communauté française, et il s’est conclu à Cluj, capitale européenne 2015 de la jeunesse française, à la rencontre de jeunes français venus étudier la médecine.

Communauté française

UDI MatchFrance-Roumanie de rugby !
Au restaurant “Ici et Là” de Bucarest, Benoit Mayrand a organisé une soirée conviviale avec la communauté française de Roumanie, en soutien aux Bleus qui affrontaient l’équipe de Roumanie, lors de la coupe du monde de Rugby. Des Français entrepreneurs qui m’ont dressé un portrait élogieux de la Roumanie très différent des clichés colportés malheureusement parfois en France.

 
 

Enseignement

L1 WP_20150924_10_30_00_ProLycée français Anna de Noailles

Les locaux du lycée français de Bucarest sont flambant neufs et accueillent 1100 élèves. Depuis 2005, leur nombre a cru de 135%.

On relève 100% de réussite au bac ! Comment faire mieux ? Pas étonnant que 28% des élèves s’orientent ensuite vers une classe préparatoire aux grandes écoles.

Autre sujet de fierté : 9 juillet dernier, une élève roumaine de terminale L a décroché le 1er Prix au concours général de philosophie.

L2 WP_20150924_12_24_36_Pro(Photo) Je suis entouré de la proviseure Carole Soulagne et Gilles Antoine, président de la Fondation du lycée réunissant les parents d’élèves, et deux membres de l’équipe de direction.

Félicitations à la Fondation du lycée et aux équipes administratives et pédagogiques de l’établissement. En très peu de temps, tous ces acteurs sont parvenus à un résultat qui fait honneur à notre système d’enseignement français à l’étranger.

Fête de la gastronomie

G1 Gastro WP_20150924_13_02_35_ProTrois jours durant, François Saint-Paul, ambassadeur de France en Roumanie, a brillamment soutenu la fête de la gastronomie, grand rendez-vous annuel de la Chambre de commerce française en Roumanie, destiné à rapprocher les cuisines française et roumaine.

 

 

 

 

G4 Gastro WP_20150923_22_14_02_Pro

Le soir de mon arrivée, l’ambassadeur avait organisé un dîner à la Résidence en l’honneur de Simone Zanoni, chef étoilé du Trianon Palace, venu de Versailles à Bucarest pour l’occasion.
 
 
 
 
 
G3 GastroC DSC_8372Le lendemain midi, François Saint-Paul a animé la conférence de presse et accueilli de nombreux visiteurs à la Résidence pour leur faire découvrir des recettes roumaines, revisitées à la française. Une expérience culinaire unanimement appréciée.
 
 
 
 
 
 
Gastro WP_20150924_21_53_46_ProLe soir même, Simone Zanoni (sur la photo) officiait dans les cuisines du Hilton pour nous offrir un menu sublime mettant en valeur des produits d’exception issus de nos terroirs. Un moment assurément inoubliable, tant pour les convives que pour les équipes des cuisines du Hilton !
 
 
 

Relations commerciales

CH1 CCI WP_20150924_19_03_44_ProChambre de commerce française en Roumanie

La CCIFER compte 500 entreprises adhérentes qui pèsent ensemble 15% du PIB roumain et fournissent 150.000 emplois !

Si on trouve en Roumanie presque tout le CAC 40, il ne faut pas oublier tout un lot de start-up françaises qui présentent des réussites spectaculaires.

La France est le 4ème partenaire commercial et le 5ème investisseur de la Roumanie.

(g. à d.) Dana Gruia Dufaut, conseillère consulaire et administratrice de la chambre ; Olivier Cadic ; Eric Faidy, président de CCIFER et directeur Michelin Europe et Adriana Record, directrice exécutive de la CCIFER.

CH2 CCI WP_20150924_19_07_05_ProA souligner que la Chambre a rédigé un livre blanc “Compétitivité” sur la base des propositions de ses membres. L’ouvrage vise à renforcer les atouts de la Roumanie et lui permettre de développer de nouveaux avantages comparatifs, afin de gagner une place privilégiée dans l’économie mondiale. L’initiative a rencontré un fort succès médiatique.

Eric Faidy, président de la Chambre, insiste sur l’environnement francophile du pays, très propice au développement des affaires.

Entrepreneuriat

Maz 1 Maz WP_20150924_19_23_33_ProParmi les réussites françaises en Roumanie, on cite Mazars, le cabinet d’audit et de conseil devenu une référence internationale. J’ai participé à leur réception célébrant le 20eme anniversaire de leur présence en Roumanie.

 

 

 

Réunion consulaire

Réunion consulaire 12030483_10153759514613816_7893099841212455265_oRéunion consulaire autour de l’ambassadeur pour discuter des priorités concernant les Français de Roumanie. Tous m’ont invité à les aider à promouvoir un pays qui offre d’excellentes perspectives économiques et un cadre de vie très attractif.

(g. à d.) Dana Gruia Dufaut, conseiller consulaire ; Olivier Cadic ; François Saint-Paul, ambassadeur ; Christian Le Maître, conseiller consulaire ; Benoit Mayrand, conseiller consulaire

Culture française

Institut 12003911_10153760101058816_6700402542439305101_nL’Institut Français de Bucarest est l’un des établissements culturels les plus importants de la capitale roumaine. Il offre une programmation riche et variée pour un public roumain très francophile et renvoie une fort belle image de la France.

Symbole d’ouverture sur l’extérieur, l’Institut a été le dernier établissement culturel à fermer après l’arrivée au pouvoir des communistes, et le premier à ouvrir, dès 1970, à la faveur d’une période de détente politique.

 

Institut_RoumanieL’Institut français de Bucarest dispose d’une médiathèque (bibliothèque pour adultes, bibliothèque pour enfants et une sono-videothèque) qui possède quelque 35.000 documents.

Il abrite également une salle de cinéma de 240 places qui permet d’offrir un programme quotidien de films. Il propose chaque semaine des conférences sur divers sujets

L’espace réservé aux cours de langue accueille, chaque année, près de 2 500 apprenants.

Institut 11145188_10153760101253816_4516753615593680816_nEn compagnie de Christophe Pomez, directeur de l’Institut et Christophe Gigaudaut, conseiller de coopération et d’action culturelle.

 

 

 

 

Coopération judiciaire

Charlotte Broissand CoopeLe Ministère des Affaires étrangères et du développement international mène une politique de coopération régionale pour la protection et la promotion des droits de l’enfant en Roumanie, en Bulgarie et en République de Moldavie. Charlotte Broissand, attachée de coopération régionale « Droits de l’enfant » à l’ambassade m’a présenté les deux objectifs principaux de sa mission: Améliorer les conditions de l’audition et la prise en charge des mineurs victimes ou témoins d’infractions ; Développer la prise en charge socio-éducative des mineurs délinquants.

 

UDI

UDI 10730939_10208026217356997_6775357170889591667_nLancement UDI Roumanie

Rencontres et discussions très intéressantes lors du lancement officiel l’UDI-Roumanie. Benoit Mayrand a été nommé cet été délégué UDI pour la circonscription consulaire de Bucarest qui regroupe la Roumanie et la Moldavie.

Sur la photo, nous reconnaitrons Christian Le Maître, Valentin Menini-Nastasel, Olivier Cadic, Jean Pierre Vigroux, Pierre Guerin, Jean-Michel Invernizzi, Oana Miu et Fred de La Taille.

Cluj – Enseignement Supérieur

C1 Clujlab1Visite de l’université de médecine de Cluj-Napoca

L’Europe offre de nouvelles perspectives aux étudiants : ils sont désormais libres de pouvoir étudier là où ils le souhaitent. 1 100 étudiants français sont inscrits à Cluj pour devenir médecin, dentiste, pharmacien ou encore vétérinaire.

Certains bénéficient même de bourses de la part de Conseils généraux en France. En contrepartie, ils prennent l’engagement d’exercer pendant cinq ans dans le département qui participe à leur frais d’études.

C2 ClujfacEchanges avec les étudiants français de Cluj – Napoca

J’ai discuté avec nos étudiants au sujet de leur nouvelle situation de Français expatriés, en compagnie de Benoît Mayrand, conseiller consulaire de Roumanie.

Mon intervention avait été préparée grâce aux conseils de Benoît Bavouset, directeur de l’Institut Français à Cluj-Napoca (IFC) et Alexis Grand, consul général de France en Roumanie.

C3 Clujfac3Séminaire d’intégration des étudiants français

Les Français et francophones inscrits dans les filières médicales de l’Université de médecine et pharmacie (UMF) et à l’Université de médecine vétérinaire (USAMV) ont eu droit à un séminaire d’intégration organisé à Cluj, du 21 au 26 septembre, par l’Institut français de Roumanie – filiale de Cluj, l’ambassade de France en Roumanie et la Corporation des Étudiants en médecine de Cluj.

Un événement réalisé en partenariat avec l’UMF, l’USAMV, la mairie de Cluj et le Club francophone d’affaires de Cluj.

C4 Clujfac5Un remarquable guide de l’étudiant à Cluj

Tout a été mis en œuvre au cours du séminaire d’intégration, où j’ai aussi rencontré des parents d’élèves, afin d’informer, rassurer et motiver les participants.

Toutes mes félicitations à François Saint-Paul, notre ambassadeur à Bucarest, et à tous ceux qui se sont investis pour créer et animer ce séminaire particulièrement réussi.