La nouvelle de la tuerie d’élèves en Serbie m’a profondément affecté. Face à l’absurde et la monstruosité, toute pensée rationnelle s’éclipse. L’école ne constitue plus un sanctuaire contre la folie criminelle, on le savait déjà amèrement.
Faut-il que tout soupçon d’humanité ait déserté le cœur et l’esprit de cet assassin de 13 ans qui, lit-on, aurait planifié son crime de longue date. Un crime inexpiable à l’égard de ses camarades, dont une élève de nationalité française, a-t-on appris dans la journée. Quel parent ne peut être confondu de tristesse devant un tel drame ?
L’heure est au recueillement pour les victimes et à notre compassion infinie pour leurs proches. J’assure le peuple serbe et son Président, Aleksandar Vučić, de notre sympathie et de notre solidarité dans cette épreuve.