Créé en 2009, le Club France Terre de Tourisme vise à contribuer aux évolutions à même de favoriser le développement du tourisme en France et de renforcer sa compétitivité internationale.

J’ai rejoint le Bureau du Club France Terre de Tourisme en qualité de co-président, en même temps que Luc Carvounas, sénateur maire d’Alfortville. J’aiderai l’équipe animatrice à poursuivre le dialogue engagé entre partenaires privés et décideurs publics.

Le secteur du tourisme représente 7% de notre PIB et deux millions d’emplois directs et indirects.

La France doit conforter son rang de première destination mondiale en période d’intensification de la concurrence internationale. Nos acteurs du tourisme ne doivent pas être lésés au regard des pratiques de nos voisins européens, comme par exemple l’ouverture des magasins le dimanche.

Diner-débat du Club "France, Terre de tourisme" : Olivier Cadic et Philippe Faure, président délégué du conseil de promotion du Tourisme qui rassemble des professionnels, des élus et des représentants de l’Administration.

Diner-débat du Club “France, Terre de tourisme” : Olivier Cadic et Philippe Faure, président délégué du conseil de promotion du Tourisme qui rassemble des professionnels, des élus et des représentants de l’Administration.

Face aux évolutions de la clientèle, notre pays doit aussi relever le défi de l’innovation et de la diversification.

J’ai participé à un diner débat, le 18 novembre dernier, en présence de Philippe Faure, président délégué du conseil de promotion du Tourisme. Cet organisme, présidé par Laurent Fabius, a pour mission de proposer une stratégie pour le tourisme français à l’horizon 2020. Ce conseil a prévu de rendre son rapport au premier trimestre 2015.

Pour accroitre notre attractivité touristique, j’ai proposé que nous fassions participer les Français de l’étranger. Chaque Français expatrié est, de fait, un ambassadeur de notre pays et peut contribuer à promouvoir la destination France.

Lors de l’examen du PLF 2015 (projet de loi de finances), j’ai déposé plusieurs amendements ayant trait à ce secteur d’activité. L’un d’eux proposait un dispositif fiscal d’aide à la rénovation des résidences des hébergements de loisir.