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1er congrès UDI-Monde & Congrès UDI à Versailles

Premier congrès UDI Monde (19 mars)

GroupeUDIMondeAvec Meyer Habib, député des Français de l’étranger, nous avons accueilli les délégués UDI-Monde au siège du parti en présence de Jean-Christophe Lagarde, président de l’UDI.

Animée par Maxime Duda, la réunion a porté sur quatre points : notre organisation (bilan d’activité, supports de communication…) ; ma réserve parlementaire (appel à projets 2017) ; la position de l’UDI-Monde vis-à-vis de la primaire ; nos priorités politiques.

Espagne : rencontre avec Carolina Punset, Ciudadanos (20 mars)

PuncetEn marge du congrès UDI, Jean-Christophe Lagarde s’est entretenu avec Carolina Punset porte-parole et députée européenne du parti espagnol Ciudadanos, venue participer à la table ronde du matin.

Pierre-Olivier Bousquet, conseiller consulaire UDI Espagne, a participé à cette réunion. Il avait organisé mes rencontres avec le parti centriste espagnol, lors de mes déplacements à Madrid et à Barcelone.

Ciudadanos appartient au même groupe que l’UDI au Parlement européen (ALDE) où il défend une vision pro-européenne et pro-entreprise.

Congrès UDI : table ronde sur l’Europe (20 mars)

TRonde(g. à d.) Carolina Punset, députée européenne Ciudadanos ; Dominique Riquet, député européen UDI ; Sarah Ludford, membre LibDem de la Chambre des Lords et Jean Arthuis, député européen UDI, président de l’Alliance centriste.

Lors de la table ronde sur l’Europe animée par Thierry Masson, délégué consulaire UDI Belgique, réunissant les députés européens, j’ai porté la contradiction à Dominique Riquet favorable au Brexit. Les Britanniques ont besoin de l’Union européenne et réciproquement. Le Royaume-Uni était le 2ème contributeur net de l’UE en 2013 et le 3ème en 2014.

Congrès UDI à Versailles (20 mars)

UDI_Versailles_1bisSur scène, toutes les composantes de l’UDI pour applaudir le discours conquérant de son président Jean-Christophe Lagarde en clôture du congrès (voir la vidéo).

Quelques heures plus tôt, mon collègue Jean-Léonce Dupont avait annoncé les résultats de la consultation interne : 66% des adhérents ont voté contre une participation à la primaire de la droite, en l’absence d’un accord avec Les Républicains (LR). Ils ont aussi donné mandat au bureau politique à 85% de “préparer le projet présidentiel et législatif”. Ainsi, les candidats aux législatives seront investis en juin.

Au Sénat – En Bref du 14 au 20 mars 2016

Sénat : projet de loi constitutionnelle Protection de la Nation (16 mars)

Hemicycle“On ne devrait pas réviser la Constitution sous le coup de l’émotion”, a dit mon collègue Jean-Marc Gabouty. Nous avons débattu sur les deux articles “état d’urgence” et “déchéance de nationalité” en question.

Gros point de divergence avec l’Assemblée nationale : “Notre responsabilité est de ne pas créer d’apatrides, ce serait une aberration au regard de notre tradition républicaine”, a résumé François Zocchetto, pdt du groupe UDI-UC.

Royaume-Uni : rencontre avec Sir Julian King (18 mars)

RU_KingJ’ai fait la connaissance de Sir Julian King qui a succédé à Sir Peter Ricketts au poste d’ambassadeur de Grande-Bretagne en France, le 1er février dernier.

L’ambassadeur relaye l’action de David Cameron en faveur du maintien du Royaume-Uni au sein de l’UE. Je l’ai assuré que l’immense majorité des Français du Royaume-Uni soutenait cette démarche.

VIDEO – Débat sur Public Sénat (18 mars)

PublicSInvité de l’émission “Senat 360” sur la chaine Public Sénat pour débattre du projet de loi de révision constitutionnelle avec le sénateur Jean-Yves Leconte et le juriste Guillaume Drago.

J’ai dit que la déchéance de nationalité n’était pas un moyen de combattre le terrorisme et mon exaspération devant toute cette énergie dissipée. J’ai aussi marqué ma satisfaction de voir le Sénat rassemblé autour d’une même position : notre République doit assumer ses criminels et ne pas créer d’apatride. LIEN VIDEO

HEBDOLETTRE n°52 – Hommage aux victimes de Bruxelles – Enseignement français et Renaud Meyssonnier (Népal) – Congrès UDI à Versailles et 1er congrès UDI Monde – En bref, semaine du 08 au 13 mars 2016 – En circonscription au Honduras / Tegucigalpa (22 au 23 février 2016) – Diner d’Etat en l’honneur du roi et de la reine des Pays-Bas – Maroc : Question écrite sur le respect des droits des salariés français

Lire : l’HEBDOLETTRE n°52 – 22 mars 2016Logo HebdoLettre bleu - Rond75

Edito de l’HebdoLettre n°52

Aujourd’hui le sénat vote un texte remanié de la réforme constitutionnelle. L’article 2 sur la déchéance de nationalité, réécrit par le Sénat, correspond exactement aux souhaits exprimés par le Président de la République lorsqu’il a réuni le congrès à Versailles le 16 novembre dernier. Pourtant les sénateurs socialistes ont voté unanimement contre. Allez comprendre.

L’Assemblée des Français de l’étranger (AFE) s’est réunie la semaine dernière pour sa 24ème session. Je remercie la Commission des Finances, du budget et de la fiscalité de l’AFE présidée par Laure Pallez de m’avoir invité pour expliquer ma vision destinée à créer un nouvel élan pour l’enseignement français à l’étranger. Développement dynamique du réseau international d’écoles françaises fondé sur des plans Ecoles locaux, financement par un chèque éducation…, le compte rendu vous parviendra dans une prochaine lettre.

Visuel HL51

L’approche dynamique des projets développés pour les Français de l’étranger par l’UDI Monde s’est concrétisée par les réussites, ce week-end, du premier congrès UDI-Monde à Paris, puis du congrès exceptionnel de l’UDI à Versailles. Vous en trouverez les premiers échos, ci-dessous.

Par contre, ce lundi j’ai appris avec tristesse que la Cour d’appel du Népal a confirmé la condamnation de Renaud Meyssonnier à un an de prison ferme. Lire la suite de l’édito et découvrir l’HebdoLettre n°52

 

  • HebdoLettre n°52 – 22 mars 2016
  • Au Sénat – En Bref du 08 au 13 mars 2016

    Etats-Unis : Bilan de la présidence Obama (8 mars)

    Le groupe d’amitié interparlementaire France / Etats-Unis, présidé par Caroline Cayeux, sénatrice de l’Oise, s’est réuni pour dresser un bilan de la présidence Obama et cerner les enjeux des élections de novembre 2016. Pour nous éclairer sur la situation, nous avons accueilli Justin Vaïsse, directeur du Centre d’analyse, de prévision et de stratégie (CAPS) au MAEDI et Anne-Lorraine Bujon du département Etats-Unis à l’Institut français des relations internationales (Ifri).

    Bureau exécutif de l’UDI (8 mars)

    burexNotre Burex du 8 mars a arrêté à l’unanimité les questions soumises au vote des militants en préparation du congrès extraordinaire de l’UDI du 20 mars prochain.

    Comme notre président Jean-Christophe Lagarde, j’ai appelé nos adhérents à voter contre la participation de l’UDI à la primaire organisée par Les Républicains. En effet, ceux-ci n’ont pas jugé bon de répondre à notre proposition de définir, dès à présent, un pacte de gouvernance dans la perspective des présidentielles et des législatives.
    Lire à ce sujet l’édito de mon hebdolettre n°51.

    Royaume-Uni : deux Lords au Sénat pour débattre du Brexit (9 mars)

    France_RULe groupe d’amitié interparlementaire France-Royaume-Uni, présidé par le sénateur Eric Bocquet, a accueilli deux parlementaires de la Chambre des Lords.

    Nous avons ainsi échangé avec Sue Miller, Baroness Miller of Chilthorne Domer et Barbara Janke, Baroness Janke of Bristol. Kara Owen, ministre conseiller de l’ambassade du Royaume-Uni, était également présente. A l’ordre du jour, des discussions sur le Brexit, la crise des réfugiés et la centrale nucléaire de Hinckley Point.

    Préparation du CA de l’AEFE (9 mars)

    En compagnie de la députée Claudine Schmid et des sénateurs Joëlle Garriaud-Maylam, Louis Duvernois et Jean-Yves Leconte, je me suis rendu au siège de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) afin de préparer son prochain conseil d’administration. Autour de Christophe Bouchard, directeur et Raphaëlle Dutertre, responsable des relations avec les élus, nous avons suivi un ordre du jour qui pointait toutes les problématiques actuelles de l’Agence : sécurité, budget et carte scolaire, rapport Perret, point sur le COM 2016-2018, réforme des bourses et anciens élèves.

    Uruguay : rencontre avec Martin Biurrun (10 mars)

    M_BurriunAvec Martin Biurrun, conseiller consulaire Uruguay, nous avons poursuivi une conversation entamée l’an dernier, puisqu’il était venu à Paris participer au dîner de l’Association mondiale des anciens des lycées français.

    Plus récemment, Martin m’avait adressé son témoignage de sympathie et des images de centaines de personnes réunies sur la Rambla de Montevideo, pour honorer les victimes du 13 novembre. Nous avons évoqué ses attentes d’élu et la situation en Uruguay, où je me rendrai prochainement.

    Diner d’Etat à l’Elysée (10 mars)

    ElyseeJ’ai eu l’honneur de participer au diner d’Etat en l’honneur du roi Willem-Alexander et de la reine Maxima des Pays-Bas, avec le privilège d’être assis à côté de la table d’honneur. Le couple effectuait sa première visite d’État en France depuis son accession au trône en 2013.

    Sa Majesté a cité Descartes en ouverture de son discours : “Me tenant comme je suis, un pied dans un pays et l’autre en un autre, je trouve ma condition très heureuse, en ce qu’elle est libre.” Une phrase qui m’a ravi. Vidéo du toast du président de la République, François Hollande

    Allemagne : déplacement à Francfort (11 mars)

    Francfort1Je reviendrai ultérieurement sur mon déplacement à Francfort. En résumé, le proviseur Pascal Meyer m’a fait visiter du lycée français Victor Hugo (AEFE), où j’ai retrouvé Daniel Ollagnier, avec lequel j’avais siégé à l’AFE (tout à droite à l’image).

    Je me suis ensuite rendu à la société Eloquia qui enseigne le français, à l’initiative du conseiller AFE Jean-Marie Langlet et en compagnie d’Emmanuel Beaufils, délégué consulaire. J’ai enfin rencontré Nicola Beer, secrétaire générale du FDP, le Parti libéral-démocrate.

    AG UFE Monde (12 mars)

    UFE_pdtGérard Pelisson a été ovationné lors de l’Assemblée générale de l’UFE Monde qui réunissait les présidents du monde entier, ainsi que les parlementaires représentant les Français de l’étranger.

    Notre président s’est montré particulièrement déterminé à renforcer le réseau UFE et l’adapter aux défis contemporains. L’association doit résolument poursuivre son évolution numérique et son développement de partenariats internationaux. Gérard Pelisson a aussi fustigé toute visée personnelle qui pourrait supplanter l’intérêt général de nos ressortissants, rappelant que l’UFE est un mouvement apolitique.

    UFE-CA2Le conseil d’administration a été traditionnellement suivi de la soirée de gala qui permet de chaleureuses retrouvailles et d’entendre des échos de notre communauté sur tous les continents.

    (g à d) Louis Duvernois, sénateur ; Ronan Le Gleut, conseiller AFE et pdt UFE Berlin ; Christiane Kammermann, sénatrice ; Olivier Cadic et Yann Le Provost, pdt UFE Ile de France

    Côte d’Ivoire : message de solidarité (13 mars)

    CoteInformé de l’attentat lâche et abject, j’ai immédiatement prié notre ambassadeur, Georges Serre, d’exprimer notre solidarité au peuple ivoirien et à la communauté française présente à Grand Bassam. J’étais sur place en novembre dernier, à l’hôtel Affoyam (à l’image), lors de mon déplacement en Côte d’ivoire.

    J’ai appelé Martine Ducoulombier, présidente de l’UFE Côte d’ivoire, qui habite Grand Bassam. Fort heureusement, elle avait quitté la ville pour Abidjan 15 minutes avant le début des tirs.

    Rencontre avec les élus de l’ADCI (13 mars)

    Adci_afe(g à d) les députés Alain Marsaud et Frédéric Lefebvre ; les sénateurs Joëlle Garriaud-Maylam, Christophe André Frassa, Jacky Deromedi et Olivier Cadic

    Le groupe ADCI, Alliance de la droite, du centre et des indépendants, s’est réuni la veille de l’ouverture de la semaine de travaux de l’Assemblée des Français de l’étranger (AFE). Une réunion de travail étoffée de six parlementaires représentant les Français de l’étranger pour répondre aux interrogations des élus AFE.

    Népal : procès Meyssonnier reporté (13 mars)

    Parents-MeyssonnierDimanche, le procès en appel de Renaud Meyssonnier a été reporté au 21 mars, à la grande déception de ses amis et de ses parents sur place au Népal. Ceux-ci sont formidables de courage. J’avais rencontré Nadine et René en janvier (à l’image), lorsque je suis allé visiter Renaud dans sa prison, grâce à notre ambassadrice Martine Bassereau.

    J’espère que le bout du tunnel approche pour ce Français victime de personnes sans scrupules qui lui ont échangé quelques faux dollars contre des vrais euros.

    HEBDOLETTRE n°51 – Primaires : vote des adhérents UDI (édito) – En circonscription au Costa Rica / San José (19 au 22 février 2016) – En bref, semaine du 29 fév. au 04 mars 2016 – Egypte / République dominicaine (extradition de C. Naudin) – Médias – Actualités UDI

    Lire : l’HEBDOLETTRE n°51 – 12 mars 2016Logo HebdoLettre bleu - Rond75

    Edito de l’HebdoLettre n°51

    Un congrès extraordinaire de l’UDI a été convoqué le 20 mars prochain afin de décider de la stratégie de notre formation lors des prochaines échéances nationales de 2017.

    Ce choix hautement décisif pour l’avenir de l’UDI fait l’objet depuis plusieurs semaines d’un débat au sein de notre mouvement et dans les fédérations afin d’en éclairer les enjeux.

    Nous avons proposé à nos partenaires des Républicains (LR) qu’une délégation de notre Bureau exécutif les rencontre afin d’envisager les conditions d’une alternance réussie.

    En effet, le seul choix d’un candidat commun à l’élection présidentielle ne saurait suffire. Dans le respect de nos propres identités, nous avions pour objectif d’affirmer nos priorités communes et de définir un pacte de gouvernance.

    LR et plus largement l’ensemble des candidats déclarés à la primaire de LR n’ont donné aucune suite à nos propositions.

    Visuel HL51

    Nous en avons tiré les conclusions lors du Bureau exécutif de l’UDI du 8 mars 2016. Ce bureau a arrêté à l’unanimité les questions qui seront soumises au vote des militants du 15 au 19 mars.

    Je voterai non à la première question : souhaitez-vous que l’UDI participe à la primaire initiée par Les Républicains ?

    Si les adhérents le décident, il reviendra au Bureau de préparer le projet présidentiel et législatif de l’UDI, comme c’est proposé dans une autre question.

    Faire de la politique autrement, c’est bâtir un projet qui rassemble avant même de choisir la femme ou l’homme qui doit le porter. Découvrir l’HebdoLettre n°51

     

    Au Sénat – En Bref du 01 au 04 février 2016

    Séminaire des sénateurs du groupe UDI-UC (1 et 2 fev.)

    M_CanavetLes sénateurs centristes se sont réunis à Saint-Cloud pour un séminaire de réflexion. L’objectif était de préparer les grands dossiers législatifs de l’année 2016.

    (A l’image) Mon collègue Michel Canevet exprime qu’il faut avoir une ambition pour nos agriculteurs qui, menacés par des prix bas, peinent à vivre du produit de leur travail.

    Irlande : rencontre avec Géraldine Byrne-Mason, ambassadeur (3 fev.)

    Amb Irlande(g à d) Olivier Cadic ; Françoise Laborde, sénatrice de Haute-Garonne ; Géraldine Byrne-Mason, ambassadeur d’Irlande en France ; Michel Raison, sénateur de la Haute-Saône

    Au cours d’un petit déjeuner de travail autour de Géraldine Byrne-Mason, ambassadeur d’Irlande en France, nous avons fait le point sur la situation de l’Irlande qui connaitra des élections législatives dans quelques semaines.

    La politique d’ajustement fut une potion amère mais salutaire, puisque les indicateurs de l’économie irlandaise sont revenus au beau fixe : une croissance de 7% en 2015 et un taux de chômage qui est redescendu à 8% (contre 15,2% en 2012). A ce rythme le plein emploi est envisagé pour fin 2017. Le tout avec un déficit de 2,7% du PIB. Cela nous laisse rêveur…

    J’ai transmis à l’ambassadeur une note relative à mon déplacement à Dublin (sept. 2015) et à l’audition de Claire Nevin par la délégation aux Droits des femmes du Sénat (oct. 2015). (lire : Ce qu’une Française doit savoir sur l’Irlande).

    L’ambassadeur m’a répondu que 90% de la population irlandaise était en faveur d’une évolution de la législation sur l’avortement, notamment sa décriminalisation. Les élections devraient relancer la question. A noter également un projet de référendum en vue d’abroger la loi irlandaise sur le blasphème. Je me réjouis de ces nouvelles.

    Santé : audition d’Agnès Buzyn par la CAS (3 fev.)

    CASLa commission des Affaires sociales du Sénat a reçu Agnès Buzyn, candidate à la tête de la Haute autorité de santé (HAS). Professeur d’hématologie, elle dirige l’INCA (l’Institut national du cancer) depuis 2011.

    La HAS est une autorité publique indépendante, créée en 2004 et destinée à renforcer la qualité notre système de santé, au moyen d’évaluations, de recommandations et de certifications des établissements de santé.

    Ce type d’agence est caractérisé par une grande autonomie vis-à-vis des administrations centrales et du pouvoir, tout en exerçant une mission de service public. Cette audition fut l’occasion de rappeler qu’il existe 21 agences sanitaires en France qui emploient 25.250 personnes pour un coût de 3,5 milliards d’euros.

    Espagne : rencontre avec Franck Trouilloud, Alliance française de Malaga (3 fev.)

    F_Trouilloud-HL49Franck Trouilloud, directeur de l’Alliance française de Malaga, prépare l’inauguration officielle de son nouveau siège éco-responsable dans le cœur historique de la ville, le 17 mars prochain.

    Installée depuis 45 ans dans la ville natale de Pablo Picasso, l’Alliance française de Malaga a pu compter avec le soutien d’entreprises sponsors de la Chambre de commerce franco-espagnole. L’institution travaille en lien avec les principaux sites culturels de de la ville.

    En mars 2014, je m’étais rendu sur place et j’avais trouvé remarquable que des cours de “français langue maternelle” y soient organisés, chaque samedi matin. Une bonne pratique à essaimer.

    Tourisme : rencontre avec Jean-Bernard Falco, AHTOP

    JB_Falco-HL49Nous avons discuté avec Jean-Bernard Falco des nouvelles technologies qui rebattent les cartes dans le secteur du tourisme, comme dans tous les métiers.

    Il est le président-fondateur de l’AHTOP, une association qui a pour objectif de promouvoir un hébergement touristique de qualité, afin d’aider la France à franchir la barre symbolique des 100 millions de touristes par an en 2020, avant de marcher vers les 130 millions en 2030 !

    Depuis juillet dernier, Jean-Bernard Falco est parvenu à rassembler près de 30.000 adhérents du secteur hôtelier traditionnel. Ils s’alarment de la concurrence des plateformes internet d’intermédiation entre particuliers, souvent étrangères et, par nature, moins soumises à contraintes.

    Plan Ecole du Royaume-Uni (4 fev.)

    Le 4 février, à Londres, je poursuivais mon audit du plan Ecole à l’Ecole bilingue de Battersea en compagnie de Lorène Lemor, conseillère culturelle adjointe de l’ambassade, Mirella Otten, la principale et Frédérique Brisset, chef d’établissement.

    Vous trouverez le compte-rendu de ce déplacement dédié au « plan Ecole du Royaume-Uni » dans l’hebdolettre n°49 de février 2016.

    HEBDOLETTRE n°45 – Ma dotation d’actions parlementaires 2016 (Réserve parlementaire) – Déplacement en Inde (New Delhi – 3, 4, 5 janv. 2016) – Colloque sur l’hydro-diplomatie – 30 ans d’Adiflor – Jean-François Liess rejoint l’UDI – UDI actualités

    Lire : l’HEBDOLETTRE n°45 – 19 janvier 2016Logo HebdoLettre bleu - Rond75

    Edito de l’HebdoLettre n°45

    En ce début d’année 2016, j’ai plaisir à vous annoncer que la dotation d’actions parlementaires 2016 (plus connue sous le nom de “réserve parlementaire”) a été officiellement accordée.

    Pour la part qui m’a été attribuée, les responsables des structures bénéficiaires viennent d’en être avisés. Tout a été mis en œuvre auprès de l’administration centrale pour que les versements correspondants puissent être effectifs au plus tard avant l’été.

    Ce résultat est l’aboutissement d’un processus de “sélection collégiale” que j’ai mis en place en juillet dernier pour m’affranchir de toute décision discrétionnaire en matière de distribution d’argent public.

    Les 32 élus UDI-Monde ont été sollicités pour étudier les 44 demandes de subvention reçues. Chacun a classé 20 projets par ordre de préférence. Je me suis réjoui de leur choix varié et équilibré. Visuel HL45A l’arrivée, l’enveloppe de 150.000 euros confiée à ma responsabilité se répartit en cinq grands postes budgétaires (voir ci-dessous).

    Je félicite les 27 lauréats dont le projet a été sélectionné par le jury. Ceux ayant remporté le plus grand nombre de points seront mis en avant dans l’hebdo-lettre. Comme l’an dernier, le tableau détaillé des projets subventionnés sera publié sur mon site internet.

    J’ai demandé à chacun d’eux de mettre en avant le soutien du peuple français à leur initiative dans leur communication, plutôt que de citer mon nom pour justifier de la provenance de la subvention. Lire la suite et découvrir l’HebdoLettre n°45

    Répartition de ma dotation d’actions parlementaires 2016

    – Offre d’un service public de qualité aux Français à l’étranger : 40.000 euros
    – Coopération bilatérale d’aide publique au développement : 39.800 euros
    – Actions de co-développement : 24.500 euros
    – Coopération culturelle et promotion du français : 36.200 euros
    – Agence pour l’Enseignement français à l’étranger : 9.500 euros

    Les premiers lauréats du Jury

    1 – Association Chrétienne des Institutions Sociales et de Santé (Mouscron – Belgique) – Matériel pour la création d’un potager thérapeutique pour les malades d’Alzheimer.
    2 – Fondation Kangourou (Bogota – Colombie) – Programme de formation pour lutter contre la mortalité infantile.
    3 – Association Hayati (Agadir – Maroc) – Equipements et travaux pour un espace d’accueil d’enfants de de 0 à 6 ans, réservé aux mamans seules ou en difficultés afin de leur permettre de travailler.

    HEBDOLETTRE n°44 – Vœux 2016 – Déplacement à Barcelone (14 déc. 2015) – Affaire Renaud Meyssonnier (Népal) – Quartet tunisien pour le dialogue social – Actualités UDI

    Lire : l’HEBDOLETTRE n°44 – 11 janvier 2016Logo HebdoLettre bleu - Rond75

    Edito de l’HebdoLettre n°44

    Pour cette première hebdolettre de l’année, je souhaite à chacun d’entre vous ainsi qu’à vos proches de beaux projets, de belles réussites et une excellente santé.

    A l’aube de 2016, je veux que les Français de l’étranger sachent que je garde en tête mes engagements de campagne, consignés dans les 31 défis, afin d’en relever le plus grand nombre.Visuel HL44

    Avec le soutien de nos élus consulaires, je ferai inlassablement des observations et des propositions sur tous les dossiers qui peuvent les concerner pour obtenir des résultats.

    Je pense à l’amélioration de leur quotidien et le respect de leurs droits, qu’il s’agisse de protection consulaire, d’informatisation des procédures administratives, d’accès à l’enseignement français, de mobilité professionnelle, de fiscalité non discriminatoire, de protection des enfants placés en famille d’accueil, pour ne citer que ces quelques exemples. Lire la suite et découvrir l’HebdoLettre n°44

     

    Roland Raad, conseiller consulaire Arabie Saoudite, rejoint l’UDI

    Roland Raad est né au Ghana et s’est retrouvé scolarisé en Belgique, avant que son père n’élargisse son horizon à l’Arabie Saoudite. Une révélation pour l’architecte qu’il est devenu : “C’est le pays des mille et une nuits !” Palais ou fronts de mer, on aime rien tant que les idées démesurées que des centaines d’ouvriers réalisent en un tour de main. “On jette ses idées dans un croquis, et puis, un jour, on se balade réellement à l’intérieur de ses idées…”

    Roland Raad, conseiller consulaire Arabie Saoudite et président de l'UFE Al khobar

    Roland Raad, conseiller consulaire Arabie Saoudite et président de l’UFE Al khobar

    Que du bonheur, mais aucun égocentrisme parce “mes parents nous ont éduqués à aider les démunis, à servir tout court”, prévient-il.

    A 29 ans déjà, il préside le conseil de gestion du lycée français l’Al khobar et côtoie les problèmes des Français expatriés. Il prend aussi conscience que, mis à part le lycée, il n’existe aucune représentation officielle française dans cette province orientale de l’Arabie Saoudite, poumon économique du royaume.

    Aujourd’hui, notre communauté se retrouve dans la “Maison des Français”, des salles spacieuses à l’intérieur du lycée, conçues par Roland et financée par Samir Al Binalipar, consul honoraire. Dans la foulée, Roland a fondé l’UFE Al khobar en 2007 qui comprend 250 membres ! Le besoin était donc réel.

    Conseiller du commerce extérieur de la France (CCEF) en appui de l’ambassade et consul honoraires adjoint, en soutien du consulat, Roland devient, tout naturellement dirait-on, conseiller consulaire, il y a quelques mois.

    “Je sers avec passion tout Français de tout bord et de toute origine”. Ce refus de tout sectarisme a conduit Roland vers l’UDI, un mouvement qu’il juge beaucoup plus ouvert d’esprit et plus collaboratif que les autres. Bien plus qu’un style de fonctionnement, c’est une clé universelle pour relever nos défis contemporains : “Il faut désormais être capable de bâtir une solution spécifique pour chaque problème”, pointe-t-il.

    “La visite du sénateur Olivier Cadic au Maroc” dans Clin d’œil magazine

    Clinaout2015


    Pour sa première parution en kiosque au Maroc, le magazine Clin d’œil d’août 2015, sous la signature de Jérôme Lamy consacre un dossier de 4 articles suite à mon déplacement de janvier dernier qui m’a conduit de Marrakech à Fès, Rabat et Casablanca.

    Lien vers le sommaire des pages politiques.

    cadic-marocLa visite du sénateur Olivier Cadic au Maroc
    “Pour avoir suivi Olivier Cadic, sénateur représentant les Français établis hors de France et membre fondateur de l’UDI (Union des Démocrates et Indépendants), lors de son déplacement au Maroc…” lire la suite de l’article
    Photo (g. à d.) : Pascal Capdevielle, conseiller consulaire Fès ; Olivier Cadic ; Sandrine Tranchet, consule honoraire de Oujda ; Gilles Bourbao, consul général de Fès

    Congrès-UDI-2014-FinalOlivier Cadic : « Il faudra compter avec l’UDI ! »
    “Le sénateur Olivier Cadic dénonce le casting des candidats à l’UMP et appelle plutôt au grand maelström des idées nouvelles. Il prépare l’alternance de 2017 avec l’UDI.” lire la suite de l’article  Photo (g. à d.) : Olivier Cadic, Yves Jégo, Chantal Jouanno, Jean-Christophe Largarde, Jean-Léonce Dupont, Laurent Hénart, Jean-Marc Gabouty, Sophie Auconie (Congrès UDI 2014)

    Olivier Cadic : de l’électronique à la bande dessinée, la réussite d’un self-made man…
    “Il a tout juste 20 ans quand il crée Info Elec (1982), une société spécialisée dans le DAO (Dessin assisté par ordinateur)” lire la suite de l’article

    L’indispensable Christophe Lekieffre
    “Olivier Cadic s’est adjoint les services d’un attaché parlementaire haut de gamme, en la personne de Christophe Lekieffre (…)” lire la suite de l’article

    Une journée parlementaire UDI pleine d’idées et de vitalité

    Comme attendue, la journée parlementaire des groupes UDI / UDI-UC fut des plus cordiales et enrichissantes. Ce 26 septembre, à Paris, les travaux ont porté sur les réseaux sociaux, les conséquences du réchauffement climatique en termes de migrations et de guerre et enfin sur l’avenir de l’école.

    Réunis en équipes, les parlementaires se sont mobilisés sur Twitter

    Réunis en équipes, les parlementaires se sont mobilisés sur Twitter

    L’atelier thématique consacré aux “Défis majeurs de la lutte contre le réchauffement climatique” a permis à l’expert François Gemenne de jeter un pont saisissant entre le dérèglement climatique et les enjeux de pouvoir. Il postule que “le changement climatique n’est pas un problème environnemental, mais une question de pouvoir et de rapports de force nord/sud”.

    Le climat peut-il être considéré comme un enjeu de sécurité ? La déstabilisation des États déjà fragiles tend à le prouver. François Gemenne a rappelé que la guerre en Syrie est survenue après trois années de sécheresse.

    L’atelier thématique intitulé “Remettre l’école au milieu du village” a conduit à un bilan peu reluisant de notre système éducatif. “Aucun pays européen ne cumule tant de handicaps en même temps”, a-t-on entendu…

    Nous sommes tous d’accord : la solution n’est pas de dépenser plus, mais de dépenser mieux ; ou bien encore : il vaut mieux se contenter d’une réforme avec une ou deux priorités, pour commencer.
    Alors, que faire, au lieu de multiplier les classes à options ou de s’embourber dans une couteuse réforme des rythmes scolaires ? Les idées des parlementaires ont fusé.

    Les UDI réunis autour de leur président pour réveiller la politique

    Les UDI réunis autour de leur président pour réveiller la politique

    Par exemple, nous n’avons pas de système de formation professionnelle, nous dit Annick Billon, donc pas de rattrapage possible par la voie de l’apprentissage. Pour Yves Jégo, il faut donner plus d’autonomie aux établissements scolaires. Partant du principe que l’éducation est l’affaire de tous, Elisabeth Doineau prône la présence obligatoire des parents à l’école. Et pourquoi pas un retour de l’uniforme en primaire pour plus d’égalité et contre les tentations, interpelle Chantal Jouanno.

    Avant de nous réunir pour la photo de famille autour du président Lagarde, le sénateur François Zocchetto a conclu la journée sur de prochaines initiatives pour soutenir la fondation Energie pour Afrique de Jean-Louis Borloo.


    Caroline Laporte, nommée coordinateur UDI-Benelux

    Caroline Laporte, conseillère consulaire Belgique : « L’UDI incarne l'espoir du renouveau et on y ressent cette formidable énergie amenée par une nouvelle génération pleine d'optimisme ».

    Caroline Laporte, conseillère consulaire Belgique : «L’UDI incarne l’espoir du renouveau et on y ressent cette formidable énergie amenée par une nouvelle génération pleine d’optimisme».

    Afin de consolider notre développement dans une circonscription emblématique pour un parti européen, la direction UDI-Français de l’étranger a confié à Caroline Laporte, conseillère consulaire UDI de Belgique, la mission de coordonner les activités déployées en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg. Elle réalisera un travail de synthèse sur le Benelux qui nous sera précieux pour accompagner et soutenir tous ceux qui s’investissent sur le terrain.

    Etablie à Bruxelles depuis 15 ans, elle fut la première élue française, en 2006, à siéger dans un conseil communal bruxellois. Incollable sur les arcanes de la vie politique belge, Caroline connait tout autant le terrain aux Pays-Bas et au Luxembourg.

    Après avoir mené avec succès une campagne consulaire indépendante, Caroline a décidé de rejoindre l’UDI à l’été 2014. Elle a pris une part active aux débats pour l’élection du président de l’UDI et a soutenu activement la liste UMP-UDI pour l’élection sénatoriale : « J’adhère à toutes les valeurs de ce parti : la responsabilité individuelle, l’esprit d’entreprise et bien évidemment l’Europe qui est une évidence pour une Française mariée à un italo-hollandais ! », nous a-t-elle dit.

    Parcours de Caroline Laporte

    . Arrivée en 2000 à Bruxelles :
    – Collaboratrice en Cabinet ministériel : Communautaire à la Région Bxl-Capitale, Présidence du Sénat belge – Coopération au développement au Fédéral – Corps interministériel des Commissaires du Gouvernement
    – Fédération Wallonie Bxl – Direction de la Lutte contre la Dopage
    . Juin 2006 Candidate sur les listes AFE
    . Oct 2006 Candidate sur la liste Mouvement Réformateur – Elue
    . 2007 Fondatrice UFE Avenir Belgique et Jeunes Actifs Belgique
    . 2012 Réélue Conseillère communale MR à Ixelles
    . 2013 Fondatrice Français d’Ici
    . 2014 Elue Conseillère consulaire, comme indépendante
    . Mandats belge : vice-présidente des Hôpitaux Iris Sud

    HEBDOLETTRE n°19 – 06 avril 2015

    Lire : l’HEBDOLETTRE n°19 – 06 avril 2015Logo HebdoLettre bleu - Rond75

    Edito de l’HebdoLettre n°19

    Dès mardi 7 avril, le Sénat étudiera en séance publique le projet de loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques, communément appelé « loi Macron ».

    Ce projet de loi propose des avancées destinées à « libérer » l’activité économique.

    Qui s’en plaindrait ? Sauf à vouloir être dogmatique, il parait naturel d’accueillir de manière favorable un projet de loi visant à relancer l’activité, tant notre pays est à la traine en matière de croissance.

    Pourtant, devant les réticences de sa majorité, le gouvernement a utilisé l’article 49-3 pour faire passer le texte sans vote à l’Assemblée nationale.

    HL Picto 3 Présidée par le sénateur UDI Vincent Capo-Canellas, la commission spéciale en charge du projet de « loi Macron » a amélioré le texte soumis au Sénat (voir vidéo du Sénat : Trois questions sur une loi).

    Dans la lignée de Valéry Giscard d’Estaing, de Raymond Barre et de René Monory, l’UDI défend les propositions en économie susceptibles de ramener la croissance en France.

    Notre pays accuse un retard de 5 millions d’emplois marchands par rapport à l’Allemagne et à la Grande-Bretagne. Encourager l’investissement dans les entreprises pour relancer la création d’emplois ne peut se faire par des demi-mesures. Nous devons nous inspirer des bonnes pratiques qui ont fait leurs preuves ailleurs.

    Nous devons également adapter les règles du droit du travail au plus près de la réalité du monde du travail.

    Je propose de modifier la rédaction de l’article L1 du code du travail afin d’inverser la hiérarchie des normes. L’ensemble des règles applicables en matière de droit du travail seraient replacés au niveau conventionnel (entreprise, groupe…), tandis que le code du travail fixerait uniquement les règles d’ordre public social (lire l’amendement). Lire la suite


     

    “Olivier Cadic, à la rencontre des Français de Bruxelles”, par Jérôme Cloarec

    A l’invitation de l’association « Français d’Ici » et de sa fondatrice Caroline Laporte, et en présence de Madame le Consul général et des Présidents d’associations, Olivier Cadic, sénateur des Français établis hors de France, a rencontré les Français de Belgique, venus des quatre coins du pays (Courtrai, Gand, Anvers, Namur, etc.), au cours d’une belle et riche soirée, et ce dans une adresse incontournable, les Armes de Bruxelles. Tout un programme, citoyens !

    Le 26 mars 2015, aux "Armes‬ de Bruxelles", Olivier Cadic, sénateur des Français établis hors de France, est venu à la rencontre des Français de Belgique. Il a été invité par l’association Français d'Ici, fondée par Caroline Laporte, conseillère consulaire Belgique et coordinatrice de l’UDI pour le Benelux (à droite de l’image) et présidée par Frédéric Misheletti, par ailleurs membre de l'UFE Belgique (à gauche de l’image).

    Le 26 mars 2015, aux “Armes‬ de Bruxelles”, Olivier Cadic, sénateur des Français établis hors de France, est venu à la rencontre des Français de Belgique. Il a été invité par l’association Français d’Ici, fondée par Caroline Laporte, conseillère consulaire UDI Belgique (à droite de l’image) et présidée par Frédéric Misheletti, par ailleurs membre de l’UFE Belgique (à gauche de l’image).

    Après avoir expliqué sa démarche, celle d’un entrepreneur engagé en politique qui souhaite y promouvoir les mêmes valeurs, dont la récompense au mérite et la culture du résultat, des Français participant au dîner lui ont exposé spontanément leurs préoccupations.

    Il y a ce qui touche à l’intime, la question de l’enfance et de la maltraitance par exemple. La situation morale et juridique de ces enfants fragilisés est un sujet extrêmement sensible et douloureux. La détresse des familles, que ce soit du fait d’un mauvais traitement d’un parent ou encore de la difficulté de trouver un placement d’accueil pour un enfant handicapé, constitue pour le sénateur une priorité car il est de sa responsabilité d’élu, nous a-t-il rappelé, de protéger les plus faibles parmi nos concitoyens.

    La question fiscale a naturellement été soulevée par l’audience. La tentative insidieuse de certains membres de l’administration fiscale de rompre avec la tradition républicaine, et quasi universelle, du principe de territorialité de l’impôt, pour évoluer vers un dangereux et incertain critère de nationalité, suscite une légitime inquiétude. Comme il a pu le faire en séance au Sénat, Olivier Cadic nous a assuré qu’il continuera de se battre pour qu’aucune exception au principe de territorialité ne soit tolérée.

    Enfin, le contexte politique général, dont les élections départementales, était évidemment dans les esprits. L’habituel éléphant dans la pièce, pour paraphraser nos amis britanniques, soit le FN, suscite des interrogations et des inquiétudes auxquelles M. Cadic a répondu simplement : comme tout entrepreneur, il ne parlait jamais de ses concurrents et ensuite c’est nos résultats qu’il faut opposer au FN, parce que là où la politique réussit, le populisme faillit. Et la reconstruction de la famille centriste qu’il incarne, et menée par notre Président Jean-Christophe Lagarde, prendra une large part à ce sursaut, nous a-t-il assuré.

    C’était donc une soirée réussie et il faut remercier l’équipe des Français d’Ici pour l’organisation, ainsi que Caroline Laporte, conseillère consulaire UDI pour la Belgique, et tous nos compatriotes qui y ont contribué.

    Jérôme Cloarec

    A propos d’Europe

    Jérôme Cloarec est président d’Atelier Europe, avocat du droit de la concurrence et membre de l’UDI

    Jérôme Cloarec est président d’Atelier Europe, avocat spécialisé en droit de la concurrence et membre de l’UDI

    Une soirée bruxelloise peut-elle être exempte d’une réflexion sur l’Europe ? Certes non, et d’autant moins lorsqu’on rencontre un représentant de l’UDI, le seul parti fédéraliste et résolument engagé pour l’Europe politique. Précisons qu’Olivier Cadic est Délégué national UDI aux Français établis hors de France.

    A une question sur la possibilité de construire une culture politique commune en mettant en commun nos programmes et en développant des partenariats avec des partis frères européens, le sénateur a rappelé les propositions qu’il défendait, mais aussi leur esprit. Pour lui, l’Europe c’est le décloisonnement, l’ouverture et c’est la taille critique qui permet d’affronter à armes égales des compétiteurs qui sont bien souvent des Etats continents. L’Europe ne peut pas tout, nuance-t-il, mais sur un certain nombre de sujets, comme la défense, la politique étrangère et l’économie, faire croire que la France peut agir seule est une gageure ou, pis, un mensonge ! L’UDI a formulé des propositions précises, reprenant celles de Jean Arthuis qui a longuement détaillé la possibilité d’un ministère des Finances de la zone euro. Pour M. Cadic, l’Union économique et monétaire doit être renforcée par un pôle politique qui organiserait le fédéralisme.

    L’indépendance que nous assurera une Europe plus intégrée passe aussi par le système éducatif. Breton d’origine, il a évoqué cette élite bretonne, d’avant 1532, forcée d’étudier hors de son territoire, à Paris, et qui fut coupée de son peuple quand vint le temps de défendre son indépendance face aux appétits de la Couronne de France. Si nous n’agissons pas, demain notre élite ira se former sur d’autres continents, s’est inquiété Olivier Cadic, en ajoutant que c’est avec la conscience de notre Histoire que nous devons travailler à renforcer l’Europe.  JC

    Jean-Christophe Lagarde rencontre les élus consulaires UDI

    Jean-Christophe Lagarde, président de l'UDI et Olivier Cadic

    Jean-Christophe Lagarde, président de l’UDI et Olivier Cadic

    Le 18 mars, j’ai eu le grand plaisir d’accueillir Jean-Christophe Lagarde au Sénat. Il est venu à la rencontre des élus consulaires UDI, à l’occasion de la 22ème session plénière de l’Assemblée des Français de l’étranger (AFE).

    Ensemble, nous avons présenté l’organisation de la structure des Français de l’étranger.

    Les 23 élus consulaires UDI à l’étranger sont réunis au sein d’un “Bureau” pour leur permettre d’exercer un rôle national.

    Pour le président de l’UDI, le contexte particulier des Français de l’étranger justifie d’autant plus une organisation « souple et participative ».

    L’UDI veut réveiller la politique et cela n’est pas juste un slogan.

    Etre souple, par exemple, c’est éviter que les gens en place ne verrouillent le parti pour préserver leur statut, nous a-t-il expliqué.

    Etre participatif, c’est permettre aux élus d’avoir leur mot à dire sur les candidatures aux élections ou sur la ventilation de ma réserve parlementaire.

    Etre participatif, c’est aussi faire appel aux élus pour proposer des solutions aux blocages français qui viennent de l’extérieur. « Vous pouvez donner un regard sur notre pays que nous n’avons pas », justifie le président, qui a regretté un système français « adapté à la France d’avant la mondialisation » !

    Les élus consulaires ont débattu de leurs attentes (supports de communication, appui des parlementaires…) et de leurs difficultés spécifiques inhérentes à certains pays étrangers (surveillance politique, non convertibilité de la monnaie…).

    Il a été mis en lumière que beaucoup d’expatriés négligent les élections locales, ne sachant pas qu’ils peuvent voter dans leur commune d’origine ou ne sachant pas à qui donner procuration…

    Il a été mis en lumière que beaucoup d’expatriés négligent les élections locales, ne sachant pas qu’ils peuvent voter dans leur commune d’origine ou ne sachant pas à qui donner procuration…

    Ces échanges ont illustré la nécessité d’avoir une feuille de route pour aborder les échéances électorales de 2017. J’ai donc évoqué les objectifs pour étoffer notre réseau à l’international qui compte actuellement 22 représentations.

    En fin de conférence, l’assistance a commenté la maquette du prochain site UDI des Français de l’étranger, conçu et présenté par Maxime Duda, membre de l’équipe de coordination UDI des Français de l’étranger.

     

    Quelles sont les valeurs défendues par l’UDI ?

    Le parti reste attaché aux valeurs du centre et aux valeurs radicales telles que l’humanisme, le fédéralisme européen et le radicalisme. Dans son pacte fondateur, l’UDI affirme également vouloir réunir “les indépendants, les familles centristes, les divers-droite et les tenants d’une écologie responsable” dans une formation politique “indépendante”, “positionnée au centre droit” et partageant neuf priorités et des valeurs communes.

    Parmi ces priorités figurent ainsi la “refonte d’une Europe plus intégrée”, “un allégement massif des charges sociales des entreprises”, un “Etat plus économe”, une “décentralisation maîtrisée”, une “réelle maîtrise des comptes publics”, une “révolution éducative” favorisant “l’apprentissage” et “l’alternance” ou encore “la défense d’une écologie responsable porteuse d’emplois durables”.
    Ces valeurs sont notamment le “respect de l’autre, l’écoute, le dialogue et la tolérance” mais aussi la “responsabilité” individuelle et le “mérite” ou la lutte contre “les lignes Maginot dans la société et les territoires”.

    Congrès 2014 : Jean-Christophe Lagarde intronisé président de l’UDI

    Un parti européen, progressiste et humaniste. Trois mots pour caractériser l’UDI, trois mots pour changer la donne politique.

    Congrès 2014 : Premier sénateur UDI représentant les Français établis hors de France, j’étais aux côtés de Jean-Christophe Lagarde, nouveau président de l’UDI

    Congrès 2014 : Premier sénateur UDI représentant les Français établis hors de France, j’étais aux côtés de Jean-Christophe Lagarde, nouveau président de l’UDI

    Jean-Christophe Lagarde, notre nouveau président, a d’emblée marqué la différence d’un parti qui assume de vouloir gouverner la France, porter nos valeur humanistes et expliquer aux Français en quoi ce sont des valeurs qui permettent d’offrir une sortie de crise.

    L’UDI est le parti de l’Europe, dit Yves Jégo, député maire de Montereau-fault-Yonne, résolument convaincu que le fédéralisme est l’évolution historique à entreprendre. La France, confetti à l’échelle mondiale, a-t-elle un autre choix, tandis que se développent de véritables états-continents alentour, interpelle Guy Verhofstadt, président du groupe ADLE au Parlement européen ?

    Jean Arthuis, député européen, est tout aussi catégorique en affirmant qu’il n’y a pas de projet crédible s’il n’est pas euro-compatible, assenant que l’Europe est la dernière chance pour la France.

    Nous sommes le seul parti 100% européen, observe Laurent Hénard, dans un pays qui devient de plus en plus frileux, passéiste, otage des communautés et recroquevillé sur lui-même. Pour preuve, l’état français n’a pas eu l’idée de commémorer la chute du mur de Berlin, comme l’a fait isolément la ville de Nancy, dont il est maire.

    Aspirer à l’Europe ne doit pas être une nouvelle fuite en avant. L’UDI est porteuse de changement immédiats et concrets, comme l’a illustré Charles de Courson, député de la Marne, avec des propositions qui marient bon sens et progrès à un point culminant pour notre époque. Au sujet de la retraite : on gagne un trimestre d’espérance de vie par an, reculons l’âge de la retraite d’un trimestre par an ; au sujet de l’assurance maladie : zéro jour de carence pour le public, trois jours pour le privé, cessons de fabriquer deux France.

    Dans le même esprit, Jean-Christophe Lagarde fustige les discriminations sociales et affirme préférer le contrat à la loi, chaque fois que c’est possible. Se sentir engagé plutôt qu’obligé facilite l’adaptation au monde.

    L’humanisme, c’est préparer la génération d’après, selon le président de l’UDI. Après-guerre, nos grands-parents ont durement reconstruit la France, explique-t-il, mais les deux générations suivantes ont tout dépensé, puis acheté leur confort à crédit. Qui va rembourser ? Chantal Jouanno, sénatrice de Paris, le rejoint en soulignant que l’UDI doit être l’avocat des enfants de la France, en incluant la dimension écologique.

    Il faudra donc tenir le langage de la vérité et oser dire qu’il y a des sacrifices à faire. Tous les orateurs en ont convenu, se flattant d’appartenir au parti du courage. On est bien loin des stéréotypes accolés au centrisme…

    A l’heure où les deux principaux partis politiques français ne savent plus où ils vont, ni comment ils doivent s’appeler, nous devrions conquérir une place immense, si nous restons fidèles au message de Jean-Louis Borloo, dans un combat de dignité de hauteur de vue, rappelle Yves Jégo.

    « Nous sommes le parti qui veut inventer le futur avec hardiesse !», a conclu le nouveau président de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde.

    Liens vidéo : discours du congrès UDI 2014 – 15 novembre 2014 – Mutualité à Paris

    Jean-Christophe Lagarde, président de l’UDI

    Sophie Auconie, gouverneure au Conseil mondial de l’eau
    Jean Arthuis, président de la commission du budget au Parlement européen
    Jean-Marie Bockel, sénateur du Haut-Rhin
    Charles de Courson, député de la Marne
    Vincent Delahaye, sénateur de l’Essonne
    Laurent Hénart, maire de Nancy
    Yves Jégo, député-maire de Montereau-fault-Yonne
    Sophie Joissains, sénatrice des Bouches-du-Rhône
    Chantal Jouanno, sénatrice de Paris
    Dominique Riquet, député européen
    Guy Verhofstadt, président du groupe ADLE au Parlement européen
    Philippe Vigier, président du groupe UDI à l’Assemblée nationale
    François Zocchetto, président du groupe UDI-UC au Sénat

    Congrès de l’Union des démocrates et indépendants, le 15 novembre à la Mutualité de Paris. Au centre, Jean-Christophe Lagarde, nouveau président de l’UDI. (à gauche de JC Lagarde) Chantal Jouanno, sénatrice de Paris, Yves Jégo, député-maire de Montereau-fault-Yonne, Olivier Cadic, premier sénateur UDI représentant les Français établis hors de France, M…, Aymeri de Montesquiou, sénateur du Gers, Sophie Joissains, sénatrice des Bouches-du-Rhône, Didier Bariani, ancien député et secrétaire d’Etat (à droite de JC Lagarde) Jean-Léonce Dupont, sénateur du Calvados, Laurent Hénart, maire de Nancy, Jean-Marc Gabouty, sénateur de la Haute-Vienne, Sophie Auconie, gouverneure au Conseil mondial de l'eau

    Congrès de l’Union des démocrates et indépendants, le 15 novembre à la Mutualité de Paris. Au centre, Jean-Christophe Lagarde, nouveau président de l’UDI.
    (à gauche de JC Lagarde) Chantal Jouanno, sénatrice de Paris, Yves Jégo, député-maire de Montereau-fault-Yonne, Olivier Cadic, sénateur représentant les Français établis hors de France, M…, Aymeri de Montesquiou, sénateur du Gers, Sophie Joissains, sénatrice des Bouches-du-Rhône, Didier Bariani, ancien député et secrétaire d’Etat  (à droite de JC Lagarde) Jean-Léonce Dupont, sénateur du Calvados, Laurent Hénart, maire de Nancy, Jean-Marc Gabouty, sénateur de la Haute-Vienne, Sophie Auconie, gouverneure au Conseil mondial de l’eau


    Congrès 2014 UDI – Résumé en images et réactions par TV-udi

    crédit photo UDI

    Olivier Cadic, premier sénateur UDI des Français de l’étranger

    Soirée de victoire au Sénat ce soir : le sénateur Christophe Frassa entouré de ses deux nouveaux collègues, Jacky Deromedi et Olivier Cadic.

    Soirée de victoire au Sénat ce soir : le sénateur Christophe Frassa entouré de ses deux nouveaux collègues, Jacky Deromedi et Olivier Cadic.

    Mesdames et messieurs les élus des Français de l’étranger, chers collègues,

    Les Grands électeurs représentants les Français de l’étranger se sont exprimés. La liste d’union sénatoriale UMP-UDI soutenue par l’UFE, conduite par Christophe Frassa et sur laquelle j’occupais la troisième place arrive largement en tête. L’ampleur de notre victoire nous permet de conquérir 3 des 6 sièges qui étaient soumis à renouvellement sur la circonscription hors de France. Les manœuvres politiciennes et le charcutage électoral n’auront heureusement pas permis à la gauche d’enlever le troisième siège qu’elle convoitait… Elle subit un revers sévère et perd également la majorité au Sénat !

    C’est avec une profonde émotion que je reçois le mandat de sénateur des Français de l’étranger que vous venez de me confier. J’ai ainsi l’honneur d’être le premier sénateur UDI des français établis hors de France.

    Je félicite le sénateur Christophe-André Frassa pour sa réélection et Jacky Deromedi pour son élection. Christophe a mené cette campagne avec brio, a su rassembler autour de lui la droite, le centre et les indépendants. Je suis fier d’avoir fait ce chemin avec lui. Je remercie les délégués et conseillers consulaires pour la confiance qu’ils nous ont accordée. J’ai aussi une amicale pensée pour mes colistiers non élus dont je veux saluer l’implication dans cette campagne.

    Votre confiance m’honore. Je la reçois comme un encouragement à défendre activement au Parlement les intérêts de nos compatriotes dans le monde.

    Face à un gouvernement qui agit avec précipitation, de façon hasardeuse ou partisane, et enfonce notre pays dans la crise, notre devoir est de nous unir pour promouvoir les réformes structurelles dont la France et les Français de l’étranger ont besoin !

    Les 31 défis que nous vous avons présentés pendant la campagne et que nous voulons relever avec vous constituent ma feuille de route. Entrepreneur depuis l’âge de 20 ans, entrepreneur je resterai. Et vous pouvez compter sur moi pour privilégier une politique pragmatique, efficace, et collégiale.

    Les élus consulaires seront partie prenante dans mon travail parlementaire car l’action collective et l’expertise partagée sont, sans aucun doute, le gage de notre réussite.

    Ensemble, nous pouvons relever chaque défi.

    Ensemble, nous pouvons faire de grandes choses.

    Ensemble, nous changerons la manière de faire de la politique !

    Fidèlement,

    Olivier Cadic

    Mon Infolettre n°28 d’août est disponible

    infolettre n°28J’ai eu plaisir d’adresser à un grand nombre d’entre-vous mon Infolettre n°28 qui liste les articles publiés de mai à août 2014, regroupés par rubriques.

    A l’attention des non-abonnés, je vous reproduis, ci-après, l’éditorial.

    Madame, monsieur,

    Aux élections consulaires de Londres, la liste l’Union des Français du Royaume-Uni soutenue par l’UMP, l’UDI et l’UFE est arrivée largement en tête en recueillant 40% des suffrages et a obtenu 45% des sièges de grands électeurs pour l’élection sénatoriale!

    Je remercie chaleureusement chacun de nos électeurs et les membres de notre comité de soutien au nom de tous les membres de notre liste d’union. Vous avez fait le choix de l’espérance et du progrès pour tous.

    J’adresse toutes mes félicitations aux autres candidats élus.

    J’exprime toute ma gratitude à Marie-Claire Sparrow et Olivier Bertin, conseillers consulaires indépendants, pour avoir choisi de s’unir à nous pour m’élire à la vice-présidence du conseil consulaire.

    Ensemble, nous allons pouvoir défendre l’intérêt général des Français du Royaume-Uni, sans aucun esprit partisan.

    Dès le premier conseil consulaire, nous avons présenté 3 avis destinés à raccourcir le délai de délivrance des cartes nationales d’identité, à améliorer la transparence pour l’accès au lycée Charles de Gaulle, et à nous permettre de connaître l’intégralité des bénéficiaires de la réserve parlementaire à Londres.

    Ces avis ont été approuvés par les 6 élus de la droite, du centre et des indépendants, soit 66,6% des suffrages. Vous les trouverez ci-joint. Nous attendons leur officialisation.

    La loi prévoit que le conseil consulaire soit présidé par le consul général. Cette disposition ne doit pas être comprise par l’administration comme une opportunité de droit de veto sur les débats ou sur les décisions des élus consulaires.

    Lors du comité de pilotage du plan Ecole, nous avons souhaité donner un nouvel élan pour établir une « version 2.0 » du plan né en 2008, de façon à revitaliser ses objectifs à l’horizon 2020, pour en faire le « Plan Ecole pour tous ».

    Un plan pour tous parce que 75 % des enfants français vivant au Royaume Uni n’ont pas accès aux écoles françaises ! Vous découvrirez les axes de travail décidés par le plan Ecole pour les mois à venir dans mon compte-rendu.

    Ce comité de pilotage fut présidé pour la dernière fois par Bernard Emié. Appelé à un nouveau poste à Alger, notre ambassadeur nous quittera cet été.

    Lors de son arrivée à Londres, notre ambassadeur avait déclaré avec humilité que son prédécesseur, Maurice Gourdault-Montagne, avait placé si haut la barre qu’il pourrait difficilement faire mieux. Mais les records sont faits pour être battus. Le CFBL dénombre plus de 700 élèves et le futur lycée international de Wembley en accueillera le double.

    Bernard Emié a posé la première pierre du lycée de Wembley, qui ouvrira ses portes en septembre 2015.

    Tout comme Maurice Gourdault-Montagne, Bernard Emié aura marqué de son empreinte l’histoire collective des Français du Royaume-Uni. Il mérite notre profonde reconnaissance.

    Je souhaite à chacun d’entre vous de belles et bonnes vacances.

    Fidèlement, Olivier Cadic

    Accédez à l’infolettre n°28 (mai – août 2014)

    Photo Flickr de Leo Reynolds

    « Un gouvernement sans perspective », fustige le sénateur Hervé Marseille

    indecisionTous nos indicateurs économiques sont en berne, et parmi eux : le niveau record de chômage, la consommation de ménages, l’investissement des entreprises ou encore le commerce extérieur. Tous indiquent clairement que la croissance de la France demeurera vague, inexpressive, sans vitalité…

    L’action du président Hollande et de son gouvernement a eu pour conséquence la destruction de 100 000 emplois privés en 2013. Actuellement, le taux de marge de nos PME est le plus faible de toute la zone euro. Parce qu’il s’empresse de défaire ce qu’il vient de faire, le Canard Enchaîné vient de baptiser François Hollande, le “Président Zig Zag”.

    Ce gouvernement sans idée, sans direction et qui navigue toujours en vent contraire du bon sens, est caractérisé avec justesse par Hervé Marseille, sénateur-maire de Meudon et délégué UDI aux Français établis hors de France dans sa dernière lettre d’information.

    Je vous reproduis, ci-après, le texte de son éditorial.

    Hervé Marseille Eté 2014Un gouvernement sans perspective

    Le Sénat vient de rejeter la loi de finances rectificative, avec l’aide d’une partie de la majorité !

    Au moment où notre pays connaît un chiffre record du chômage et une croissance en berne, le gouvernement fait preuve de la plus grande indécision. Par principe, il agit avec précipitation, de façon hasardeuse ou partisane, pour ne produire que des mesures bancales.

    Prenons l’exemple de la loi sur logement (ALUR), que j’ai combattue avec mes collègues UDI et UMP. 4 mois après son adoption, le constat est édifiant. Elle a complexifié les dispositifs, freine notamment la construction de logements neufs, dissuade nombre de bailleurs d’investir dans des projets locatifs et bloque de nombreuses collectivités dans la réalisation de leurs équipements. Le secteur, pourvoyeur important d’emplois, est en panne.

    Autre bizarrerie, la réforme pénale dont les dispositions, dénoncées par plusieurs syndicats de polices et de magistrats, renforcent l’idée d’impunité en matière de transgression des lois, à l’heure où le sentiment d’insécurité de nos concitoyens ne faiblit pas.

    Enfin, le feuilleton de la réforme territoriale. Certes, une réforme s’impose mais la méthode gouvernementale est hautement contestable. Menée tous azimuts, sans concertation et sans études d’impact, elle conduit les collectivités dans le marasme. Par un illogisme « collecticide », il les a même mises à la diète, avant toute réforme (baisse drastique des dotations de l’État, charges supplémentaires…).

    Concernant la Métropole du Grand Paris, les élus franciliens ont dû exercer une forte pression sur le gouvernement pour qu’il accepte de dialoguer. Pour autant, il refuse de reporter le calendrier restreint, laissant présager un bâclage. Personne n’ignore le temps et le travail que suppose la création d’une telle entité, pour être efficace !

    Puisse la pause estivale éclairer nos gouvernants afin qu’ils prennent enfin les mesures indispensables au redressement du pays… Soyons optimistes !

    Bon été à toutes et à tous !

    Hervé Marseille

    Elections consulaires 2014 : Large victoire de la liste d’union UMP, UDI et UFE !

    Big BenNous avons recueilli 40% des suffrages !

    Le résultat est formidable et notre objectif est atteint !

    Je remercie chaleureusement chacun de nos électeurs, au nom de tous les membres de la liste d’union UMP, UDI et UFE.

    Chers compatriotes, merci pour avoir fait le choix de l’espérance et du progrès pour tous.

    Ce fut un grand privilège pour moi d’avoir conduit notre liste, L’Union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre, réunissant des talents différents et des personnalités si complémentaires.

    Cette victoire nous sommes allés la chercher au bout d’une campagne énergique, toujours épaulés par notre comité de soutien, présidé par Arnaud Vaissié, à qui j’exprime toute notre gratitude.

    Au final, les socialistes sont à plus de 13 points derrière nous.

    Voici les résultats définitifs de la circonscription de Londres :

    LISTES

    VOTES

    %

    Conseillers

    Délégués

    L’Union des Français du Royaume-Uni, rassemblement de la droite et du centre

    3489

    39,92%

    4

    5

    Les pieds sur terre pour vous aider au Royaume-Uni

    1550

    17,73%

    2

    2

    Français du Monde, Unis à gauche

    2345

    26,83%

    3

    3

    Union Démocrate des Français de Grande-Bretagne

    612

    7,00%

     

    1

    l’Humain d’abord

    450

    5,15%

     

     

    Union Française, Valeurs et Démocratie

    294

    3,36%

     

     

    total  8740  9  11

    Notre victoire, d’une ampleur respectable, est un avertissement retentissant pour la secrétaire d’Etat Axelle Lemaire qui s’était personnellement engagée dans la campagne socialiste. Savourons notre plaisir sans jouer les revanchards, mais soyons soulagés que les fourvoiements de la politique conduite par le gouvernement socialiste à l’égard des Français de l’étranger trouve une juste sanction.

    Tout à ma satisfaction au sujet des élections consulaires, je ne peux vous dissimuler mon malaise face aux résultats des Européennes. Comme beaucoup d’entre-vous, j’ai le sentiment que les flammes lèchent la maison France.

    Ce sentiment ne peut que renforcer la combativité de nos nouveaux élus de droite et du centre, ainsi que raviver leur foi dans un avenir où il faut d’urgence élaguer les branches vermoulues du dogmatisme politique, de la suspicion de l’autre ou de la technocratie sclérosante.